26-05-2015 11:11 - Avec et sans Aziz, une virée à St-Louis via le misérable goudron Nktt-Rosso...

Avec et sans Aziz, une virée à St-Louis via le misérable goudron Nktt-Rosso...

Chezvlane - Cette fois, le festival de Jazz de St-louis n’allait pas complètement m’échapper depuis le temps qu’on m’en parle. Commencé mercredi dernier pour s’achever ce dimanche, samedi était l’avant-dernier soir du Festival. C’était aussi l’heure du baptême du feu pour savoir comment se porte le moteur de la 404 berline 1967.

Beaucoup d’amis croyant qu’il s’agit d’une épave m’ont déconseillé de prendre la route sur une si longue distance avec cette voiture de collection mais connaissant le moteur mieux qu’eux, je savais que je n’avais machallah rien à craindre de ce côté car toutes les pièces douteuses ont été remplacées.

Ma seule crainte fut l’état de la route car un ami me dit que le goudron est détestable, troué de partout malgré que la route Nouakchott-Rosso soit l’un des axes les plus utilisés du pays. Comment Aziz a-t-il pu le laisser dans un état pareil après presque deux mandats ? Les roues de la 404 allaient-elles tenir sur ce goudron où les bords ressemblent par endroit à des lames de rasoir ? L’ami me conseilla de prendre deux roues de secours.

J’en ai trois mais je n’en ai pris qu’une car les roues sont, comme le reste, dans un excellent état, la voiture ayant à peine 80.000km au compteur quand les Avensis, voitures de la classe moyenne aisée, se monnayent à prix d’or avec plus de 200.000 km au compteur.

Avant le départ, vu que chez moi le frigidaire n’est pas encore branché et tout est encore dans des cartons et autres valises, petit déjeuner à la Palmeraie pour tenir la route. Là-bas, je croise un ami, ingénieur de son état, oiseau de bon augure qui me demande si j’ai prévu des bidons d’essence car on n'en trouve pas en route vu que même à Nouakchott, rares sont les stations qui en vendent.

J’appelle mon co-pilote qui me fait remarquer que même si la voiture consommait du 20 litres au cent, le plein suffirait à nous mener à Rosso. Nous voilà donc en route ce samedi par une belle matinée, rues quasiment désertes vu que tout Nouakchott semble avoir fui quelque part avec ce long week-end. Les uns en brousse, les autres à la plage, les derniers à courir après Aziz quelque part et les restants encore au lit.

On a donc pu juger de l’état de la route comme le montrent ces deux petites vidéos où l’on voit ce paysage formidable massacré ici et là par une enfilade d’atroces lignes à haute tension et une tâche d’éoliennes qu’ils auraient dû mettre en haute mer.

La première montre le tronçon le plus long vers Rosso soit près de 140 km. Quelle Horreur ! Cette vidéo finit par un extrait d’un rire car on plaisantait à propos de l’azizanie et ses fameux goudrons surtout comme on le voit sur la vidéo qu’on tombe au milieu de désastre sur l’unique portait d’Aziz sur cet axe. J’approche la voiture de l’autre sens pour mieux voir.

Quel témoin ! C’est ici que l’opposition devrait convoquer le peuple pour qu’il ouvre les yeux à propos du changement constructif si ce n’est déjà fait vu que malgré les blablas du pouvoir à propos de la marée noire, l’achat de poisson a connu une chute de 2/3 au marché.

Soit dit en passant, une pensée au directeur de l’I.M.R.O.P (institut mauritanien de recherches océanographiques et des pêches) qui a osé déclarer à la TVM que les poissons morts étaient morts avant la marée noire ! Je l’ai entendu de mes propres oreilles vendredi soir. D’ailleurs il n’y a pas de marée noire a-t-il ajouté ! Incroyable mais vrai ! Faut pas s’étonner ensuite du crédit de ces gens-là auprès des populations auxquelles on n’apprend pas à faire la grimace.

Passons ! C’est le cas de le dire…

On laisse Aziz planté là comme son slogan face à son bilan à ses pieds sur un axe de ce calibre et vous voilà à zigzaguer aux milieux des trous, des bords tranchants et autres rafistolages dignes d’un dos d’âne. Il faut dire que les gros 4X4 de la délégation présidentielle ne peuvent pas sentir ces trous et leurs mille dangers vu les bolides à 25 millions pièce qui les baladent. Il faut vivre plus bas sur terre pour sentir ce relief quotidien.

La surprise nous attendait plus… Bien plus loin ! Après 150km de route misérable qui semble dater de l’indépendance. Mais avant la surprise, on a pu voir que même là au milieu de rien, on trouve des mosquées en dur distantes que de quelques centaines de mètres comme si dans ces petits villages il y avait une guerre d’imams, à chacun sa mosquée alors que chacune est assez grande pour contenir le village, habitations comprises.

Soudain, l’illumination, on arrive au magnifique nouveau goudron qui part de Rosso et dont seuls 60km environ sont construits. Il faut avoir roulé sur 150 km de galères pour comprendre l’effet que cela fait. Le goudron est tellement net machallah que les habitants s’en servent pour faire une petite promenade à pied.

Malheureusement on ne s’est pas arrêtés pour prendre en photo le trait où les deux bouts ancien et nouveau se rejoignent mais on voit sur cette vidéo le fameux goudron qui change tout ! J’ai dit à mon co-pilote que je sens que même s’il n’est pas plus azizien que ça, il ne peut que fléchir face à cette redoutable réalisation en marche et comme on était entre nous, j’ai rajouté que de toute façon nul n’a besoin d’un président pour faire une route, une entreprise et de l’argent suffisent.

A Rosso nous attendait une autre surprise : mon co-pilote allait découvrir que Vlane n’a jamais traversé Rosso avec une voiture et moi j’allais découvrir que pour traverser il faut avoir une carte grise à votre nom ou une procuration du proprio.

Ayant oublié d'apporter l'acte de vente, j’ai essayé de me présenter au chef des gendarmes afin qu’il sache que je ne suis pas un voleur et que cette voiture est bien la mienne car il lui suffit de donner un coup de fil à Nouakchott et n’importe quel commissaire bien renseigné lui répondra que la seule 404 berline en circulation est celle de Vlane.

Le monsieur n’a rien voulu savoir et il a bien fait mais sur le coup j’ai trouvé cela scandaleux car j’avais tout l’air de ne pas inspirer confiance. J’ai même cru qu’il était un peu aigri de voir ce maure avec un chapeau de paille sur la tête et ce négro-mauritanien avec une casquette américaine sur la tête en route pour festivaler à St-louis un jour ou deux. Finalement on a pu la garer quelque part et nous avons traversé en pirogue, suivi d’une ballade en moto Djakarta jusqu’à la gare routière et hop ! le taxi nous déposa à St-louis.

Là une autre mésaventure allait commencer pour moi.

Déjà quand il a fallu laisser la 404 à Rosso alors qu’on voulait l’emmener à St-louis, j’ai compris qu’il allait se passer quelque chose car comme tout mauritanien ayant tropicalisé les philosophes du siècle des lumières, je suis un cartésien superstitieux. J’ai dit au co-pilote que c’était écrit. Nous avons peut-être échappé à un grave accident. La suite allait me prouver que j’ai échappé à une grande galère supplémentaire si j’étais parti avec la voiture.

Nous voilà donc une petite auberge, très propre, trois lits par chambre avec salle d’eau, pas chère dans un quartier populaire loin de l’île. Le meilleur coin pour ceux qui passent souvent à St-louis sans protocole car il y a même le Wifi. Mon co-pilote, maire de St-louis tellement il connaît le coin, avait réussi à nous dégoter une chambre en plein festival en appelant le matin. Ce qui est déjà une prouesse mais en route je lui ai expliqué que j’aimerais bien si possible avoir chacun une chambre avec une salle de bain.

Pas de problème, il appelle plusieurs fois durant tout le trajet et en fin de journée on lui annonce qu’on m’a enfin trouvé une chambre. J'y suis. C’est très bien même s’il n’y a pas de fenêtres sinon des meurtrières teintées en noir absolu, c’est très bien même si derrière l’un des murs se tient un escalier donc un va-et-vient perpétuel, c’est très bien même si ce seau dans un coin des toilettes indiquait, sans risque de se tromper, que la chasse d’eau ne marche effectivement pas. C’est pas grave. Je déballe mes affaires et me voilà cul nu à vouloir prendre une douche.

Je tourne le robinet en craignant de l’emporter et là le jet d’eau m’annonça que tôt ou tard ça va s’arrêter. Au lieu de me savonner à mes risques et périls, je laisse couler et j’attends. Au bout de trois longues minutes tout s’arrête. Plus rien nulle part jusqu’au robinet. Là, je me rhabille décidé à quitter ce trou quoi qu’en pense mon co-pilote. De toute façon je ne suis l'invité de personne, libre à moi de loger où ça me plaît.

Il m’attendait en bas, je le pensais en haut croyant que sa chambre était dans le couloir de la mienne. A bout d’une heure, chacun à attendre l’autre et aucun, par politesse, ne voulant aller chez l’ autre pour le prier de faire vite en allant taper à sa porte, soudain à ma grande surprise mon co-pilote a fini par sortir son nez du rez-de-chaussée car il m’attendait à la réception pendant que je l’attendais plus haut près des escaliers pensant être sorti le premier vu que je n'ai pas eu le temps de prendre une douche après le long voyage. On s’explique. Lui se demande comment je ne suis pas descendu demander des nouvelles et moi m’étonnant de le voir surgir de si bas. Ambiance.

A sa tête j’ai compris que il avait toutes les raisons de penser que j’abuse. Aussi quand je lui ai annoncé, mon sac à la main, que je sors d’ici pour aller chercher ailleurs car je n’ai pas d’eau dans la chambre, il a vu rouge avec diplomatie en disant seulement « ok » d’un ton sec et bref comme un père qui s’apprête à donner à son fils une bonne leçon.

Il ajouta qu’il allait donc me déposer sur l’île afin que j’aille chercher une chambre comme je veux et pendant ce temps il va dîner. « Très bien » lui ai-je répondu sachant qu’un mot de plus d’un de nous et nous allions nous fâcher pour de bon. J’ai pris son numéro et il me largua devant le célèbre hôtel de la poste et continua en taxi.

Me voilà à 21H seul, un soir de festival qui bat son plein, à chercher une chambre impossible à trouver dans une ville que je ne connais pas et où je ne connais personne sinon l’artiste Mokhis qui doit être quelque part dans cette ville de presque 300.000 habitants sans que je sache où n’ayant les coordonnées de personne. En partant mon co-pilote savait pertinemment que je passerai la nuit sur mon sac de voyage si des voyous ne me détroussaient pas dans un coin à force de me faire remarquer à moins que je ne le rappelle d’urgence pour me sortir de là.

Même si j'étais prêt à payer le prix fort pour trouver une solution, je n’ai pas même tenté l’hôtel de la poste, l’un des plus chers de la ville, vu le nombre de 4X4 devant en ce soir de Festival sachant que cela allait être plein. C’est alors que je suis rentré dans la première auberge qui marquait 3 étoiles à côté de l’hôtel de la poste. On m’a regardé avec le sourire comme on regarde un touriste tombé de la lune croyant trouver une chambre en plein festival sur l’île, au bord du fleuve, un samedi soir !

Après une dizaine de tentatives, j’ai pensé à louer un taxi pour qu’il me dépose à Rosso de sorte que je traverse en pirogue en pleine nuit retrouver ma voiture et rentrer à Nouakchott mais le destin m’appelait ailleurs. Je pousse donc une autre porte d’hôtel et j’explique que je suis seul à St-louis, je ne connais personne ici et je ne sais même pas où est le Nord et le Sud. Peut-on me trouver quelque chose n’importe quoi ou m’indiquer le commissariat le plus proche pour que j’aille passer la nuit dans la cour assis sur mon sac en attendant de rentrer chez moi le lendemain.

Voyant ma détermination, le réceptionniste me demande combien je suis prêt à payer. Me souvenant que le trou que j’ai quitté était à 12.OOO cfa et me souvenant que l’auberge 3 étoiles à côté de hôtel de la poste indiquait 20.000, j’ai estimé que ce dernier prix ferait son effet. En effet, il ajouta avec une vague étincelle dans l’œil : « pour combien de jour ? ».

Dès que j’ai répondu deux, il a compris 40.000 de bénéfices et il me dit de le suivre derechef. Je ne serai pas allé avec cet inconnu si je ne connaissais pas un peu les sénégalais et surtout s’il n’avait pas dans les bras un petit garçon tout mignon. Au bout de 5 minutes de marche, il me fit entrer dans un appartement de trois pièces qui venait manifestement d’être libéré.

Certainement son appartement qu’il loue à des groupes de touristes comme doivent faire bien des st-louisiens pendant le festival. C’était propre mais sinistre, la salle de bain atroce, avec un peu d’eau au robinet soit pire que ma première chambre sauf que là j’étais sur l’île à deux pas du Flamingo de l’hôtel de la poste autant dire un paradis de festivalier surtout pour quelqu’un qui devait dormir dans la rue la tête sur son sac.

Je regarde, regarde encore, le monsieur me regarde l’air perplexe se demandant certainement comment ce type qui n’a pas où loger un samedi soir dans l’île peut-il se permettre ainsi de tâter les matelas et regarder la salle de bain avec l’œil d’un agent du guide Michelin.

Voyant à sa grande surprise que j’hésitais, il ajouta pour me clouer là en me rappelant la réalité « vous n’avez pas le choix, c’est ça ou rien ». Il ne savait pas à qui il a affaire car en tout temps, je ne suis jamais que ce que le destin me réserve et je préfère les grandes galères au faux confort. J’ai remercié le monsieur en m’excusant et je suis ressorti persuadé que j’allais dormir au commissariat car plutôt veiller que mal dormir.

J’ai alors pensé que dîner longuement allait raccourcir la nuit blanche et je me suis rappelé que l’hôtel de la poste a un restaurant-bar fameux qui s’appelle le Flamingo. Aussi, me suis-je dit, si je dîne royalement à l’hôtel de la poste, ils me feront bien la charité de garder mon sac quelque part moyennant un excellent pourboire, de sorte que je puisse aller vadrouiller au bar du Flamingo toute la nuit avant de prendre un taxi au petit matin à moins que là-bas le destin soit plus délicieux et me réserve de plus amples opportunités.

Me voilà donc les traits tirés à la réception de l’hôtel de la poste pour bien dîner à défaut de bien dormir. On m’explique que le restaurant est de l’autre côté au bord du fleuve et j’explique que je ne peux pas y aller avec mon sac de voyage. Je redemande s’ils ne connaissent personne qui puisse me trouver quoi que ce soit même un canapé confortable.

On me répond d’un ton routinier à peine désolé à force d’exercice, comme un coup mille fois asséné depuis plusieurs jours, qu’il n’y a rien de rien pas même à espérer. Je demande si c’est plein même pour demain de sorte à venir bien dormir après une nuit de galères.

Là, le jeune réceptionniste cherche dans le grand livre sous ses yeux, l'informatique étant apparemment H.S et finit par me trouver une chambre pour le lendemain. Je réserve. Là arrive un monsieur plus âgé, réceptionniste aussi. Il me regarde dans les yeux avec l'oeil tranquille d'un physio qui a du métier.

Le jeune lui explique que je loue une chambre pour le lendemain avant d’aller dîner au Flamingo car je ne connais personne sur l’île et comme tout le monde je cherche une chambre introuvable nulle part. Le vieux me regarde encore, me fait parler en me posant une question, puis il commence à tourner les pages des réservations comme quelqu’un qui joue doucement avec de la nitroglycérine.

Il me dit que j’ai l’air bien fatigué. En effet, vu qu’on peut lire dans mes yeux comme dans un livre ouvert, il a bien vu qu’il avait devant lui un touriste seul à st-louis parti pour dormir debout avant de rentrer chez lui.

Il regarda alors sa montre, il était 22h. Puis, il effaça doucement un nom et me demanda « c’est comment ? ». « Soueid », « Soueid Ahmed » lui dis-je n’en croyant pas mes yeux en lui tendant ma carte d’identité. Il ajouta « je prends sur moi un grand risque car ce monsieur a réservé mais il n’a pas donné signe de vie de la journée et il est bientôt minuit ».

Un vrai miracle ! Allahou akbar !

Je donne mon sac au groom et je le suis dans cet hôtel mythique. Qui peut imaginer ce que ça fait quand après être certain de dormir à la rue, on se retrouve dans une grande chambre charmante, toute propre avec une salle du bain spacieuse, avec vue sur le fleuve d’un côté et côté fleuri de l’autre ? Je n’en revenais pas ndeyssane.

J’ai alors compris pourquoi la 404 a été bloquée à Rosso sinon j’allais me retrouver à st-louis largué seul avec une voiture sans savoir où aller ni même où se trouve l’île vu que mon co-pilote, excédé par mes manières de petit prince fauché, allait me dire d’aller sur l’île chercher en m’indiquant la direction avant d’aller tranquillement dîner.

J’ai essayé de l’appeler plusieurs fois pour qu’il vienne profiter d’un des trois lits au frais sur l’île mais il n’a pas répondu et ce n’est que le lendemain matin que j’ai reçu un appel que je n’ai pas entendu car j’avais mis le tel en mode silencieux avant de dormir. Mon co-pilote m’a laissé ensuite un message pour me dire qu’il rentrait d’urgence à Nouakchott non pas lundi comme prévu mais dimanche.

Je ferai le retour en voiture seul à mes risques et périls vu qu’à aller la seule chose que je n’avais pas changée dans le moteur nous a fait des siennes à 16 km de Rosso. J’ai senti une faiblesse de régime car le moteur chauffait. A Rosso, on a découvert que le radiateur était bouché depuis 40 ans !

On l’a démonté et nettoyé à Rosso à l’aller et je suis rentré tranquillement seul au retour avec la 404 sans problème machallah après une soirée très sympathique à st-louis où j’ai retrouvé l’artiste Mokhis et bien d’autres mauritaniens au Flamingo et autres…

Je reviendrai inchallah prendre l’air car c’est vraiment une ville sympathique à deux pas de chez nous.
Un grand merci au réceptionniste de l'Hôtel de la Poste qui a sauvé mon séjour en transformant un cauchemar déclaré en un rêve éveillé...






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Commentaires (3)

  • djadjé (H) 26/05/2015 13:47 X

    Ce recit de voyage est magnifique. J'en tire une double recture: 1 - Qu'il ne faut jamais abdiquer car la determination finie tjrs par payer. Second à travers ce voyage tu nous décris l'état éreintant et l'amantable de cette route internationale. Aziz doit faire de cette axe une autoroute pourquoi pas à payage...!!!

  • ASSOCIATION MAIN PROPRE (H) 26/05/2015 12:25 X

    On peut reconnaitre Charlot par sa canne, son chapeau, sa veste, sa moustache...mais c est charlot CHEZVLANE est vraiment bizarre, comme un gorfou ou un caneton.

  • Symaodo (H) 26/05/2015 11:19 X

    BIZARRE QUAND MÊME!l'axe rosso boghe impeccable,l' axe boghe kaeidi impeccable:nouakchott rosso c' est la vraie galère.