14-12-2016 20:30 - Sit-in d’étudiants mauritaniens à l’intérieur de l’ambassade à Tunis

 Sit-in d’étudiants mauritaniens à l’intérieur de l’ambassade à Tunis

Sahara Medias - Un groupe d’étudiants mauritaniens a organisé mardi soir un sit-in à l’intérieur de l’ambassade de Mauritanie à Tunis pour dénoncer la procédure d’inscription adoptée cette année.

Ces étudiants, 25 au total, ont déclaré à Sahara Media que les mécanismes adoptés cette année par l’ambassade pour cette opération étaient loin d’être transparents ou honnêtes.

C’est l’interventionnisme qui a prévalu selon les étudiants qui ont demandé l’adoption d’un mécanisme transparent et honnête à même de les rétablir dans leurs droits.

Les étudiants ont déclaré que l’ambassade a enregistré cette année 200 étudiants, le nombre accordé par la Tunisie, mais que les inscriptions ont été entachées d’irrégularités, l’interventionnisme et le clientélisme ayant prévalu au cours de l’opération.

Les dossiers de plusieurs étudiants mauritaniens, de fait prioritaires dans l’inscription ont été rejetés, selon les protestataires.



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Commentaires (1)

  • clean clean (H) 14/12/2016 20:33 X

    Venez à l’ISCAE vous trouverez une mauvaise gestion. Le directeur adjoint, le directeur des études et le SG n’ont aucune responsabilité. Tout se joue entre le DG et les deux chefs de départements qui programment ou déprogramment des matières selon leur propre gré. Beaucoup de professeurs vacataires ont quitté cet établissement qui est une pâle copie de l’ISCAE du Royaume du Maroc duquel il tire sa réputation, non pas par la qualité de la formation. Pour preuve, un chef de département titulaire d’un simple master bricolé au sommet, dans une université de proximité qui encadre une vingtaine de mémoires ou de rapports de stage comme si le département fonctionne avec une seule personne. C’est cela la triste réalité, monsieur le ministre de l’Enseignement Sup dans cet établissement fantôme. Dans cet établissement, les premières années étaient toujours des classes pléthoriques car, en plus des bacheliers orientés par MESRS, les dossiers sont directement introduits par le directeur, les chefs de départements ou par de simples employés subalternes. Du coup, on se retrouve avec des premières années de 105 étudiants, inadmissibles pour un institut supérieur dont les effectifs doivent être réduits. Cette pratique est une remise en cause systématique des travaux de la commission d’orientation désignée par le ministère de tutelle et qui se base sur des critères objectifs. Ancien étudiant