Tous les problèmes de l'enseignement ont été réglés par notre guide éclairé lors de l'année 2015 qu'il a déclaré pompeusement "année de l'enseignement ". Les enseignants qui se plaignent encore sont corrompus par Bouamatou et ils vont être déférés à la nouvelle "agence des biens saisis et confisqués" qui se chargera de leur régler leurs comptes .

Ce sont là de mauvaises questions car tous les travailleurs , quelque soit leur secteur d'activité, sont importants pour le développement économique et social d'un pays...Ce qu'il faut par contre dire c'est qu'il est temps de mettre en place des grilles salariales qui permettent aux travailleurs de vivre décemment tout en luttant contre la pléthore des effectifs et toute autre forme de gabegie...

Peut être parce qu’il n’ y a pas de grand service fait à payer : Avec 700 h/an dans l’hypothèse d ‘une obligation de travail 8h/jour, le professeur est par un petit calcul absent de la classe 9 mois et 3 jours. cette absence est la cause de notre classement dernier du monde. La bonne question qu’il convient de poser à l’Etat est EDUCATION : QUAND EST CE QUE L’ETAT ET LE CADRES… VONT-ILS COMPRENDRE ? publiée site de http://adrar-info.net/?p=42655 cheikhany_ouldsidina@yahoo.fr

Dr, ceci sont des grandes questions que même les plus intelligents du système financier auront du mal à répondre correctement, parce que des grilles de salaires et des avantages souvent qui ne répondent à aucune norme et parce que notre administration a subit plusieurs mutations et changement de ses ressources humaines valables et capable, pour des hommes tricheurs, sans formations et sans aucun niveau.

Dans tous les pays du monde, les hommes sont choisis en fonction de leur niveau et capacité sans tenir compte de leur appartenance religieuse, politique, tribale ou communautaire, c'est-à-dire l’homme qu’il faut à la place qu’il faut. En Mauritanie c’est le contraire, on fait des grilles de salaires et des salaires en fonction de ce qu’il est, de son appartenance, de sa position familiale du fils de et de, on change une grille de salaire pour satisfaire une seule personne ou groupe de personnes, les institutions citées sont dirigées par des privilégiés, le plus souvent à titre politique pour récompenser mais jamais pour des compétences avérées. Les instituteurs sont devenus des commerçants et les enseignants des chauffeurs tout droits, ceux qui méritent les salaires sont jetés comme des malpropres, parce que les études, les diplômes et le professionnalisme ne payent plus, la médiocrité et la tricherie sont les seules gages au gros salaire sans rendement, chaque mauritanien de catégorie peut trouver le salaire qu’il veut, il doit juste connaitre le chemin.