Le président de l’IRA Biram Ould Dah Ould Abeid, interpellé par des associations médiatiques mauritaniennes dont pour s’excuser immédiatement pour ses propos accusant certains médias nationaux de partialité dont Alakhbar, Al-Jazeera et Cridem, aurait rejeté cette revendication, du moins pour les deux premiers organes d’information.

Le leader de l’IRA affirme maintenir les mêmes convictions à l’endroit des médias partisans, refusant de présenter des excuses spécialement à Alakhbar et Al-Jazeera.

En effet, il a accusé le premier organe d’être hostile à l’IRA et d’être à l’origine de relations tendues entre l’ONG et le parti d’obédience islamiste Tawassoul et le second d’être compromis dans sa noble mission par le travail de son bureau de Nouakchott, indexé d’être à la solde des maîtres esclavagistes et de service de boîte à résonance pour les agents de renseignements du régime, précisant détenir des preuves pour cette dernière charge.

Ces éclaircissements apportés par le président de l’IRA après sa première sortie virulente contre des sites, montre si besoin est que les charges avancées par l’ONG concernent exclusivement Alakhbar et Al-Jazeera, que Biram indexe de déployer leurs caméras numériques de dernier cri et leurs staffs particulièrement dans la couverture des activités hostiles à son organisation.

Il argumente ses proprios par leur refus de diffuser son discours prononcé sur les tribunes des Nations Unis à l’occasion de la remise du prix onusien des droits de l’homme largement retransmis par les médias nationaux et internationaux.