Abou Cissé - Soueidy a été épinglé avant le commencement du Ramadan par les limiers du Commissariat alors qu’il vendait des tapis. Sa chambre que les policiers ont investie plus tard, regorgeait de tapis, mais aussi des bouteilles de gaz et d’autres articles, fruits de larcins et de casses précédents.

Il a été déféré au Parquet de la République du Tribunal de Nouakchott, l’Empire Islamique des Sables, suivi de la parenté, mais aussi par quatre plaignants, des boutiquiers mais aussi des ménages, victimes de vols.

Le problème à solutionner était de savoir qui des trois boutiquiers est le propriétaire des tapis volés, si l’on sait que chacun d’entre eux dit avoir perdu le même produit.

Après l’avoir interrogé y compris les plaignants, le Procureur envoi le dossier au juge d’instruction du 5eme cabinet, qui, après les avoirs entendus, jette le caïd en prison et restitué les matériels aux propriétaires.

Jeudi passé, 17 Juillet, ses proches étaient au Parquet pour trouver une solution mais le Parquet refuse de l’accorder une liberté provisoire. Il sera juger bientôt, selon un cadre judiciaire.

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