L’affaire Zeiny Ould Khalifa, ce jeune étudiant tué dans des circonstances que rien ne saurait expliquer, refait surface. La mère de l’infortuné et ses nombreuses amies ne décolèrent pas, elles exigent plus de transparence de la part d’une justice, qui elle a depuis longtemps choisi l’autre sens. C’est-à-dire l’absence de droit.

La famille exige « une pause pour la réouverture de l’enquête sur la mort du martyr ». La justice mauritanienne qui est sous les feux de rampe depuis son abominable verdict sur les abolitionnistes, continue, elle de se qualifier dans une situation exceptionnelle de ne pas dire le droit et de faire appliquer loi.

Dans les grilles de la présidence le nom de Dieu était entendu au loin et celui de son envoyé à travers des sourates au sens du verset 112 (le bétail), face à cette justice. La famille de Zeiny affirme sa détermination par un soutien massif des proches et amis, pour faire face à ce qui s’apparente à leur yeux une tentative de vouloir confirmer le cas de leur fils dans la rubrique pertes et profils de cette loi du plus fort.

Visiblement, trois mois après la tragédie de ce jeune homme, « rien de neuf n’a été mis en place pour réparer le préjudice subi en vie humaine ». (Voir vidéo).

ADN

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