Alakhbar – Plusieurs insuffisants rénaux, résidents dans la capitale économique Nouadhibou, ont exprimé leurs vives inquiétudes et préoccupations, à la suite de la panne d’un appareil de dialyse, faisant passer les séances de régénération sanguine de 4h à 2h30.

Une situation qui expose notre vie au danger, indiquent les malades, qui parlent d’un défaut technique prévalant, depuis 3 semaines, constaté au niveau des filtres qui alimentent les dispositifs d’hémodialyse en eau.

Les patients précisent avoir également donné l’alerte, en frappant aux portes de la DRASS et de la wilaya, sans que le problème trouve la moindre solution, demandant aux autorités compétentes d’intervenir dans le plus bref délai, pour éviter que la situation ne s’empire.

Les autorités sanitaires hiérarchiques concernées par le service d’hémodialyse à Nouakchott, affirment ne pas être au courant jusqu’à présent d’un quelconque défaut du service au niveau de Nouadhibou.

Traduit de l’Arabe par Cridem