Cridem Culture - Le 12 mai dernier, la très renommée troupe Garn El Kassbah d’Atar se produisait pour la première fois, à l’institut français de Mauritanie (ifm). Une affiche qui a réuni jeunes et adultes, alliant plaisir et retour aux sources.

A l’origine, Garn El Kassbah, c’est le nom du plus vieux quartier d’Atar. Pour les uns, Garn El Kassbah, ce n’est pas qu’une troupe de prestige. Certains, à l’image de Mohamed Abdallahi Belil, ont même bousculé leurs habitudes pour ne pas rater ce premier concert de la troupe Garn El Kassbah.

"De notoriété, les troupes ataroises sont fantastiques. Je suis venu et je n’ai pas regretté. Le public a été accroché et subjugué jusqu’à la dernière minute. Tout le monde a dansé. Il n’y a pas eu une seule minute d’arrêt, d’ennui. Ça fait plaisir. Ça fait aussi gai. C’est bon pour le cœur, c’est bon pour le stress. Personnellement, j’étais très content", note cet acteur de la société civile mauritanienne.

La soirée "était métissée", note de son côté Stéphane Blanchon, directeur de l’institut français de Mauritanie (ifm), qui affirme "qu’on sent bien que ça vient de l’Adrar, que ça vient de loin".

Texte & Photos | Par Babacar Baye NDIAYE
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