Temps Forts - Après la formation du premier gouvernement du deuxième quinquennat du Président Mohamed Ould Abdel Aziz, c’est le silence et l’incompréhension dans les rangs.

Si certains continuent à croire aux promesses électorales du président d’accorder plus de privilèges à la jeunesse et aux femmes dans les sphères politico-administratives, d’autres ne cachent plus leur scepticisme face à un ce qu’ils pensent être « un volte-face du Président qui a faussé tous leurs pronostics et tué leurs espoirs ».

Si pour le moment les regards sont tournés vers un éventuel renouvellement des instances politiques de l’UPR, l’attente est aussi grande dans le choix des cadres qui se sont investis pour la réélection du Président Aziz à être nommés à de hauts postes de responsabilités.

Sur la liste d’attente il y a des fédéraux, des directeurs de campagne, des coordinateurs de sections et bien d’autres personnalités politiques que le navire n’a des nominations n’a pas encore embarqué.

Le mouvement très attendu des secrétaires généraux des directeurs centraux et au sein de l’administration territorial cristallise les espoirs de nombreux cadres techniques qui ont fait aussi leurs preuves durant la campagne électorale passée.

Reste à savoir comment répartir toutes les dividendes dont la priorité reviendrait aux jeunes.