13-02-2017 12:11 - Litige foncier
L'Authentique - Le sieur Samba Thiam continue de se battre pour son terrain, que des Samsars avaient vendu à son insu. C’est au mois de novembre dernier qu’il a constaté « les dégâts » quand, après une longue absence des lieux, il s’est présenté sur place le samedi 12 novembre, selon lui, pour constater qu’une tierce personne y avait commencé à bâtir un mur de clôture.
Après avoir porté l’affaire devant le cadi qui a convoqué toutes les parties, il ne se donne plus de repos, traînant chaque jour sa bobine devant la justice. Le problème, c’est que depuis, ni le Monsieur qui a commencé les travaux, ni le samsar qui le lui avait vendu, ne sont revenus.
Pour Samba Thiam, il s’agit d’une parade de ses adversaires qui voudraient jouer sur le temps. C’est ce qu’il a expliqué au Cadi qui a promis enfin de lui trouver une issue salutaire, si ses adversaires rechignaient encore à répondre à ses convocations.
en décidant des prix des produits de consommation, à leur guise : de décembre dernier à février 2017, le prix du riz est passé de 220 UM à 230 UM puis 260 UM alors que le sucre se vend désormais au kilogramme à 320 UM au lieu de 280 UM. Le thé, le lait, l’huile végétale ont vu leur prix majoré d’un moins 50 UM à l’unité de mesure.
En fait, tous les produits de consommation, importés de l’étranger, notamment d’Europe, des Amériques et d’Asie sont concernés par la surenchère du marché. Il est vrai que ce sont les commerçants, maîtres des lieux, qui gèrent ce marché.
En fait aujourd’hui, rien ne semble marcher comme prévu dans le domaine social comme dans celui du politique. Le rythme lent de la mise en œuvre des clauses du dernier dialogue dit inclusif laisse présager que le referendum qui a été décidé, risque de n’être que chimère. Ce n’est pas parce que le gouvernement ne le veut pas mais parce qu’il ne le peut. Faute de moyens financiers mais surtout de crédibilité.
Ahmed B