04-11-2017 09:54 - Mauritanie : Après les prix internationaux, le leader de l’IRA sacré par la littérature

Mauritanie : Après les prix internationaux, le leader de l’IRA sacré par la littérature

Atlasinfo - Après les prix internationaux, voila le chapitre d'ouvrage littéraire.

L’invitation est lancée sur un poster, rendez vous, le 11 novembre 2017, de 14h à 18h, l’adresse suivante: 10 cité Joly 75011 Paris ; en collaboration avec l’Association Mémoire Soldats Coloniaux, il sera présenté au public le livre « La liberté immédiate », qui est consacré sur Biram Dah Abeid, "l’enfant du pays, petit fils d’esclave."

« Mon ouvrage, La Liberté Immédiate, est et sera un appui de plus pour Biram Dah Abeid. Il retrace sa vie de combattant dès son enfance où il consacra ses études au combat contre l'esclavage et l'inégalité en Mauritanie.

Il créa son mouvement IRA Mauritanie avec ses amis, qui leurs valût et à beaucoup d’autres de la prison. Il s’est vu récompenser à plusieurs reprises de divers prix dans le monde pour sa lutte.

Je vous donne rendez-vous le 11 novembre pour la présentation de cet ouvrage. Tous ensembles pour vaincre l'esclavage et l'inégalité des communautés noires dans le monde. »
Nous a écrit l'auteur du livre, Mme Vanina Raliterason.

Soyez au rendez-vous

Diko Hanoune





Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité


Commentaires : 9
Lus : 4364

Postez un commentaire

Charte des commentaires

A lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem :

Commentez pour enrichir : Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem.

Respectez vos interlocuteurs : Pour assurer des débats de qualité, un maître-mot: le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'être en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives.

Contenus illicites : Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur (textes, photos, vidéos...).

Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem!

Les commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité.

Identification

Pour poster un commentaire il faut être membre .

Si vous avez déjà un accès membre .
Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI .

Vous n'êtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI .

En étant membre vous accèderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .

Commentaires (9)

  • abouth (H) 05/11/2017 13:53 X

    Quelle ironie: le seul auteur mauritanien d'autodaf/e de l'histoire, Birame Ould Abeid, est aujourd'hui "honoré" via un livre! Non, Messieurs de la rédaction de Cridem, vos ficelles sont un peu grosses... Birame n'a qu'une ambition celle de glaner indignement les miettes prévues par certaines officines occidentales soucieuses se faire bonne conscience par rapport au souvenir culpabilisant de la traite négrière (esclavage). C'est un chasseur de "primes", qui table sur le sensationnel, la provocation et le mensonge à ciel ouvert, pour hameçonner ses "victimes" potentielles, quitte à mettre la Mauritanie /à feu et à sang...

  • HOUDHOUD (H) 04/11/2017 18:22 X

    Ce livre qui sera sans doute romancé à outrance au delà de toutes limites ne sera d'aucun intérêt pour les opinions nationale et internationale qui sont loin d'être dupes.

  • keroudiambala (H) 04/11/2017 18:15 X

    Félicitations à Biram pour cette nouvelle consécration. Continues ton combat, l'histoire te rendra justice.

  • diambarardo (H) 04/11/2017 18:12 X

    Nous devons être objectifs et reconnaître que ce Biram à fait beaucoup de chemin sur la voie de la notoriété. La question à 100 000um est de savoir s'il rencontre le succès parce-qu'il est effectivement sérieux ou parce-qu'il a en face une équipe d'incapables? Merci de répondre.

  • KANTAKI (H) 04/11/2017 17:03 X

    Celle là , c'est la meilleure ! Biram a "une histoire" a un combat à raconter ! Les birams sont en train de détruire ce qu'ils appellent "leur communauté" en les excluant de leur environnement, de leurs voisins...

  • Kemet-Seth88 (H) 04/11/2017 15:52 X

    ce bon nègre de Biram après avoir été dessus par ses maîtres veut donc se venger en se servant de la cause Haratine et noire pour arriver a ses fins. pour l’égalité et la justice en Mauritanie nous n'avions nullement besoin des gens comme Biram cheval de Troie du sionisme mais nous avons besoins des patriotes mauritaniens soucieux du devenir de leur pays

  • ASSOCIATION MAIN PROPRE (H) 04/11/2017 14:38 X

    Soyons sérieux, Biram Dah Abeid n'a jamais été un combattant des droits humains, il n’a jamais aussi consacré des études au combat contre l'esclavage et l'inégalité en Mauritanie. Biram Dah Abeid est un mauritanien très ordinaire, après des études en arabe, il devient greffier sous le régime de TAYA le sanguinaire.les années 80,90 des militaires noirs ont été écartelés, enterrés vifs, tués à bout portant, et pendus à INAL (nord de la mauritanie) et à la base de la marine nationale à NOUADHIBOU, ces temps ci votre biram était greffier au tribunal de NOUADHIBOU entraine de siroté son thé. biram est un opportuniste avec un parcours honteux.

  • jahil (H) 04/11/2017 12:59 X

    Petit fils d’esclave, Biram Dah Abeid est né en 1965. Biram Dah Abeid et son père sont de ce fait nés libres. L’esclavage remonte donc dans sa famille au début 20ème siècle. Née en 1960, la Mauritanie n’existait pas en tant qu’Etat. Biram Dah Abeid, avec une poignée de privilégiés issus de toutes les communautés, a suivi des études universitaires, exercé de hautes fonctions dans l’administration, intégré les classes moyennes, goûté ses délices, et agit en thuriféraire zélé du pouvoir déchu en 2005. C’est, frustré de n’avoir pas été appelé au Gouvernement par les putschistes d’alors, et après un bref passage par l'ONG, antiesclavagiste reconnue, SOS Esclaves dont il n’a pas réussi à assurer le leadership, qu’il s’est radicalisé en 2008 en créant, avec d’autres descendants d’esclaves, IRA dont la plupart ont claqué la porte. Ceci rappelé, il serait intéressant d’entendre ou de lire Diko Kanoune pour en savoir plus sur son profil.

  • habouss (H) 04/11/2017 12:12 X

    Il se dégage de Dicko Hanoune l’odeur du souffre, Biram ne doit pas laisser des individus pareils polluer le sillage de son combat !