06-12-2018 08:29 - Mobilisation internationale sans précédent contre l'Esclavage et le Racisme en Mauritanie et pour la Libération de Biram Dah Abeid dans le Monde

Mobilisation internationale sans précédent contre l'Esclavage et le Racisme en Mauritanie et pour la Libération de Biram Dah Abeid dans le Monde

IRA-Mauritanie - A l'instar de toutes les sections IRA sur les cinq continents, IRA Amerique – Latine s'est mobilisée dans la ville de Sao Paolo au Brésil pendant cette journée internationale consacrée par les Nations-Unies contre ce crime multimillénaire, stade suprême de la souffrance humaine, et cancer rongeant la société de la République Islamique de Mauritanie;

une société mauritanienne qui stagne hideusement sur les principes d'inégalités de race et de naissance, et dont l'élite dominante tire son honneur et ses privilèges des pratiques et de la perpétuation de l'Esclavage.

Ce dimanche 2 décembre 2018 à Sao Paolo, le vice-président d'IRA Amerique – Latine monsieur Moussa Sy, déclare devant les médias et manifestants et de l'ong locale Afrique Coracao, que 20% des mauritaniens sont réduits à l'Esclavage par des criminels esclavagistes soutenus par le régime du dictateur Mohamed Ould Abdelaziz et que les militantes et militants pacifiques et anti-esclavagistes sont écrasés par la violence policière de l'État à chaque fois qu'ils s'expriment.

Les deux organisations ont aussi dénoncé au cours de cette marche l'emprisonnement arbitraire du président des Réseaux IRA dans le monde, le député Biram Dah Abeid et son compagnon Abdallahi Houssein Messoud. Des slogans dénonçant le refus des soins médicaux pour les deux illustres détenus et la maltraitance qu'ils subissent de la part du gouvernement raciste et esclavagiste de Mauritanie.

Nouakchott, le 04/12/2018

La commission de communication

-------

















Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité


Source : IRA-Mauritanie
Commentaires : 1
Lus : 2653

Postez un commentaire

Charte des commentaires

A lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem :

Commentez pour enrichir : Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem.

Respectez vos interlocuteurs : Pour assurer des débats de qualité, un maître-mot: le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'être en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives.

Contenus illicites : Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur (textes, photos, vidéos...).

Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem!

Les commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité.

Identification

Pour poster un commentaire il faut être membre .

Si vous avez déjà un accès membre .
Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI .

Vous n'êtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI .

En étant membre vous accèderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .

Commentaires (1)

  • foutatoro (H) 06/12/2018 10:28 X

    Et maintenant, c'est l'Amérique latine qui s'en mêle. Jusqu'où va t-on dans le déni dans ce "pays" ? On ne peut pas concevoir que tout ce que ce beau monde dit partout dans le monde est faux concernant l'esclavage dans "l'erreur coloniale". Mes amis, il est temps qu'on accepte l'évidence qui crève les yeux et, ensemble, œuvrer, de façon apaisée, à trouver des solutions définitives à cette honteuse tare que nous avons hérité du passé. Personne n'est responsable de ce mal. Mais, on en devient complice dès lors qu'on le nie. Comme c'est le cas actuellement du régime. Si le dénie se poursuit alors un jour, l'effet boomerang risque d'être terrible pour ceux qui le nient et en profitent inhumainement. Que c'est difficile de se présenter comme mauritanien dans le monde aujourd’hui !