C'une bonne initiative mais qui reste à compléter par les actions suivantes: -il faut recenser tous les enseignants et professeurs qui émargent à la fonction publique et les réinsérer dans le corps ou les radier définitivement afin de laisser leur place à d'autres. - réaffecter les enseignants sur un critère objectif: ancienneté, mérite -limiter chaque classe à un effectif de 30 élèves au maximum avec 15 tables et deux enseignants minimum pour le primaire (français et arabe) - interdire le regroupement des classes de différents niveaux

Une bonne chose découlant d'un bon objectif de donner des enseignants à l'ensemble des écoles, mais ce n'est pas suffisants, car ce sont ces méthodes brusques non accompagnées qui ont amené au fond du gouffre notre enseignement. Jusqu'à preuve du contraire des chômeurs ou oisifs recrutés sans aucun plan de carrière ne peuvent fournir un travail de qualité. Ils auront juste de quoi survivre dans la quête d'une nouvelle opportunité. La réussite des enfants de la brousse de Bassikounou ou de Mbagne sera le cadet de leur souci. J'invite le président de la république et son équipe d'apprendre des échecs passés pour mettre en marche des actions durables à résultats atteignables telle que la formation de vrais enseignants dans des filières dédiées telles les ENI, l'ENS et quelques facultés.

Un recrutement qui est une manière d'éviter d'attaquer de front la situation désastreuse de la gestion des enseignements. Un effet prés d'un tiers des instits n'est pas dans les classes, leur répartition spatiale est injuste: la ration enseignant/élève est d'environ 1/28 à Nchott/Trarza/Inchiri alors qu'il est de 1/75 au Hodh Charghi/Guidimakha. Mr Ghazwani on se moque de vous!!!