14-12-2019 23:46 - Enseignement : deux ministères annoncent des audits de leurs fonctionnaires

Enseignement : deux ministères annoncent des audits de leurs fonctionnaires

AMI - Un audit est en cours de réalisation pour les fonctionnaires et personnels des ministères de l’enseignement fondamental et de la réforme de l’éducation et de l’enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle.

L’Opération a été lancée, samedi à partir du collège du Ksar, wilaya de Nouakchott Ouest, par le conseiller chargé de l’enseignement secondaire, secrétaire général par intérim, M. Mahmouden El Ghadi El Adel, qui a souligné l’intérêt d’une telle vérification pour s’assurer de l’existence physique des personnes et leur situation administrative dans le but de rehausser le rendement de l’enseignement et améliorer sa qualité pédagogique.

Il a ajouté que les deux ministères en charge de l’enseignement fondamental et de la réforme de l’éducation nationale et de l’enseignement secondaire et de la formation technique et professionnelle ont recruté un bureau d’études international spécialisé pour effectuer un audit pour les données de base de leurs effectifs concernés par l’opération.

Pour sa part, le responsable du bureau d’études, Dr. Mohamed Ould Mohamed Vall, a précisé que l’opération a été lancée après une formation technique intense des équipes en charge sur les modalités et les moyens mis en œuvre pour effectuer ce recensement.



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Commentaires (9)

  • rimois (H) 16/12/2019 12:18 X

    Il faut un Bureau d’études international pour recenser nos effectifs. Ou sommes nous là? L’initiative est bonne mais il faudra l'accompagner de la bonne démarche.

  • Ksaleh (H) 15/12/2019 22:58 X

    Ajouter du gaspillage au gaspillage, un bon inspecteur peut donner la liste de tous les présents et absents !

  • Sadegh Maaloum Al Qalam (H) 15/12/2019 12:05 X

    J’espère qu’il ne s’agira pas de nous sortir du « chapeau magique » de ce pseudo Bureau d’étude international de vieux enseignants rongés par la maladie, déconnectés de l’enseignement et au seuil de la retraite. L’enseignement n’as pas besoin d’une révolution car le diagnostic est connu depuis des années : absence de manuels, inexistence d’uniformisation des programmes, des responsables d’établissements scolaires publics mal formés, des enseignements sans niveau et un enseignement privé aux mille visages. Par ailleurs les inspecteurs de l’enseignement ne jouent pas leur rôle. La preuve : dans la majorité des établissements publics scolaires, les programmes ne sont enseignés qu’à peine 60%. Ainsi donc, le vrai challenge c’est la qualité, l’uniformisation des programmes et la couverture d’au moins 80% du programme prévu. Chaque enseignant ne doit pas être libre d’enseigner ce qu’il veut mais de bien suivre un programme national. Chaque trimestre, les Directeurs des établissements scolaires publics devraient être tenus de noter chaque enseignant en fonction, au mois de la couverture du programme pendant cette période. Des mesures très simples mais tellement efficaces car se sont ces genres de pratiques qui ont fait le succès des anciennes générations.

  • chos (H) 15/12/2019 09:46 X

    Je propose au Gouvernement le systéme Cerveaux Oasis intensif et gratuit de Maaden pour compter du 1er Juillet 2020 garant du Bac trilingue à l'âge de 14 et 15 ans et du'une économie possible de 50 millliards UM/an au profit des Conseils Régionaux et cadres régionaux, si je suis reçu par Ghazouany. cheikhany_ouldsidina@yahoo.fr .

  • Oh mon Dieu (H) 15/12/2019 09:26 X

    En voyant ce qui entourent cette table, on peut toute de suite dire que la Mauritanie va directement dans le creux de la Vague pour son enseignement, on ne peut pas prendre des corrompus pour régler de la corruption. A commencer par les DREN de complaisance, les inspecteurs sans aucune formation, les enseignants aussi sans formation, les boutiquiers sans formations etc. Ceux qui ont mis l’enseignement dans cette situation doivent avoir honte d’eux même à détruire la vie des enfants de la Mauritanie de demain. Les pires années de gouvernance dans ce pays, sont les deux années de transition d’Ely Med Vall et les dix ans d’Aziz, la plus grande souffrance de ce pays est inqualifiable dans son enseignement sur terre avec les pires changements souvent personnels et de certains groupes et courant politiques, l’enseignement est mort avant la naissance des enfants.

  • leguignolm (H) 15/12/2019 01:03 X

    La corruption est dans le sang ; si non pourquoi des bureaux études pour çà ?

  • Berger Mbareck (H) 15/12/2019 00:50 X

    La dernière catégorie est celle des chauffeurs de taxis, des coiffeurs, des enfants gâtés de certains quartiers de Tevragh Zeïna, des espions qui se trouvent au point chaud et qui vendent en même temps des téléphones, nous connaissons aussi des gardiens de bâtiments administratifs comme des maitres coraniques, comme nous connaissons encore de plus des vendeurs de tables dans les coins et recoins de la ville et ils servent aussi les renseignements comme sous mains, il sera pas difficile de faire de la lumière sur cette affaire que tout le monde connait, moi le berger je connais mon troupeau de grenouille et reconnait ceux qui sont boiteux.

  • Berger Mbareck (H) 15/12/2019 00:45 X

    L’autre catégorie d’enseignant, instituteurs et professeurs avec salaire et qui ne connaissent même pas l’alphabet, ce sont ces femmes de maisons qui appartiennent des familles de chefs de tribus, il y’a des boys, des bergers, des hommes de tenues mais les plus remarquables sont les imams, les salafistes, les vendeurs de laits, beaucoup de soutient de famille, des femmes de directeurs généraux, des femmes de chef militaires et autres etc.. tout ce monde sera présent dans les écoles, collèges, lycées et établissement publique, ils sont tous avertis et doivent montrés pattes blanches, le système est rodés dans ce sens et les machines de communications sont efficaces.

  • Berger Mbareck (H) 15/12/2019 00:44 X

    Messieurs, vous n’avez pas besoin d’un bureau d’études pour vérifier l’existence ou non des enseignants, il suffit juste d’aller au marché de la capitale et de constater que l’ensemble des boutiquiers sont des enseignants inscrits dans les écoles fondamentales et secondaires, ils ne savent pas souvent leur lieux d’affection, mais ils connaissent la Banque ou se trouve leur salaire à la fin du mois.