AMI - La Première Dame, Mariem Mint Mohamed Fadel Ould Dah, a supervisé aujourd’hui, vendredi matin, dans la ville de Nouadhibou, l'inauguration du bâtiment du Centre de protection et d'intégration sociale des enfants, dans le cadre des activités de commémoration du soixantième anniversaire de la fête de l'indépendance nationale.

À son arrivée au siège du centre, la Première Dame a été reçue par la ministre des Affaires sociales, de l'Enfance et de la Famille, Mme Naha Mint Haroun Ould Cheikh Sidiya, le commissaire adjoint à la Sécurité Alimentaire, le wali de la wilaya de Nouadhibou, le président du conseil régional de la wilaya, le maire de la commune de Nouadhibou et des représentants des services de sécurité au niveau de la ville.

Après avoir coupé le ruban symbolique et dévoilé la plaque commémorative marquant le début des travaux dans le centre, la Première Dame a circulé dans ses ailes, où elle a reçu des explications détaillées sur sa nature et le rôle de cette installation dans la prévention de la délinquance et de la marginalisation des enfants et contribue à assurer l'encadrement psychologique, juridique et social des groupes d'enfants les plus vulnérables à ces phénomènes, et à veiller à leur insertion dans l'ordre naturel de la société.

Dans un mot prononcé à cette occasion, la directrice du centre pour la protection et l'intégration sociale des enfants, Mme Zeina Mint Mohammed Lemine, a souligné que la protection des enfants en situation difficile est au premier plan du programme "Taahoudati" du Président de la République, Son Excellence M. Mohamed Ould Cheikh Al-Ghazouani, qui il accorde une attention particulière aux groupes vulnérables et aux plus démunis et particulièrement les enfants.

La directrice a précisé que ce centre cherche à contribuer à la protection des enfants en situation difficile, à les réhabiliter et à les insérer dans le milieu naturel à travers ses antennes de Kiffa, Nouadhibou, Rosso et Aleg, en plus des centres de Nouakchott au niveau de Dar Naim, d’El Mina et de Tarhil.

Elle a ajouté que ces centres enseignaient le Noble Coran et dispensaient des cours d’orientation, de conseil, de revitalisation culturelle et récréative, de formation professionnelle et de sport, en plus d’une gamme d’autres services et programmes de réadaptation.