Buwuelm mon ami veuillez bien m'excuser car je sais pertinemment la valeur de l'arabe mauritanien et leur envergure sur lla maitrise des connaissances de toutes sortes et je respecte sincèrement cette catégorie de citoyens honorables et respectables. Mais savoir que mes propos n'étaient pas dans la globalisation. Je constate également que Buwuelm a un niveau de culture et de sagesse impressionnant .on est ensemble et je voudrais vous connaitre davantage mon frère.

Je reviens sur les propos de AKN relatifs à un Roi sérère du nom de Amacodou Diouf Famack qui aurait, d’une flèche empoisonnée, tué Aboubakar ibn Omar en pleine poitrine. Le perdant serait le Général des troupes Almoravides. Après avoir envoyé mon premier commentaire, j’ai consulté ma bibliothèque avec l’espoir de trouver des récits historiques sur les faits racontés par M. Niasse.

J’ai retrouvé deux ouvrages que j’ai consultés, pour me ressourcer. J’attire l’attention du lecteur sur l’année 1088, choisie par AKN pour donner un début à l’exode des sérères, de la Mauritanie vers le Sénégal. Aussi, qui peut savoir où se trouvaient ces derniers entre l’an 1087 et l’an 1 ? Pour étaler une généalogie complète et sérieuse, il faut remonter le temps, le plus loin possible. Pourquoi se limiter à une période comprise entre 1088 et 2088 (nous sommes en 2024), et ignorer 1087 à 1 ? Les sérères existaient-ils au début de l’ère chrétienne ?

De toute façon, le nom de Amacodou Diouf Famack n’apparait sur aucun des deux livres en ma possession. Par contre, le nom de Aboubakar ibn Omar a été cité plusieurs fois, et contrairement à ce qu’a laissé entendre M. Niasse, Aboubakar n’était pas le Général des troupes, mais bien le Roi des Almoravides à cette époque. C’est en 1054, que ce roi fit la conquête de l’Adrar et détruisit la ville d'Aoudaghost.

Ci-dessous, une autre histoire qui n’est pas loin de celle racontée par AKN : Abou Bakr Ibn Omar (aussi appelé Abou Dardai (mort vers 1088) était un chef et Roi Almoravide. Il est originaire de la tribu berbère des Lemtuna, faisant partie de la confédération Sanhadja, la plus puissante des tribus berbères. Il est aussi le père de Ahmed Abou Bakr Ibn Omar, plus connu sous le nom de Ndiadiane Ndiaye, fondateur de l'empire du Djolof, et considéré comme l'ancêtre des wolofs.

En 1054, il est nommé Prince émir du Sud Marocain et du désert mauritanien et reprend la ville d'Aoudaghost à l'empire du Ghana. En 1056, Abdallah Ibn Yasin le nomme à la tête des armées almoravides. En 1057, il s'empare de Souss et Aghmat, au sud du Maroc actuel. Après la mort d'Ibn Yasin en 1059, Ibn Omar devient Roi. Il est victorieux de l'émirat du Barghwata et envoie une armée au nord sous le commandement de son cousin Youssef Ibn Tachfin, avec qui il partage son Empire, tandis qu'il retourne vers l'Afrique occidentale en 1061. En 1076 il capture Koumbi Saleh, la capitale de l'empire, et impose l'Islam dans la région. Il tolère l'insubordination d'Ibn Tachfin, qui conquiert Al-Andalus, et évite ainsi l'éclatement du royaume.

Abou Bakr Ibn Omar meurt en 1087 ou 1088 au Sénégal, tué par une flèche empoisonnée d'un archer soninké reçu à la gorge.

pyranha, à CRIDEM, nous formons tous, une grande famille. Chacun s’exprime comme il veut, mais tout ceci dans le fairplay et le respect mutuel. Je vous remercie pour les compliments que vous me faites souvent, je prends acte de vos suggestions, comme quand vous me dites : « revenez sur terre ici on ne parle pas de théologie ou de f. on parle ici d'histoire de paléontologie et archéologie ». Je voudrais que vous sachiez que j’ai tout juste voulu montrer l’autre visage de AKN. Ce monsieur, il y a un peu plus d’un mois, avait demandé à Macky Sall de reporter les élections, de fermer les yeux et de « boxer » tout opposant qui se dresserait devant lui, y compris le sérère Diomaye Faye, devenu nouveau président du Sénégal. Ayant perdu cette manche, et voulant se racheter, il a formaté une histoire de « Sérère tombeur d’un général des Almoravides », pour faire plaisir à un jeune homme déjà sur ses gardes.

pyranha, je constate dans l’un de vos commentaires, vous écrivez : « Et face à Dr Niasse vous êtes loin de faire le poids. Si vous essayez d'affronter les intellectuels Sénégalais, vous allez directement dans l'humiliation. Vous êtes plutôt experts de falsifications de diplômes et d'histoire ».

Il est vraiment dommage que vous pensiez ainsi. Vous devez savoir que certains de vos compatriotes peuvent se mesurer à quiconque le souhaite. Il ne faut pas vous sous-estimer. La Mauritanie regorge de potentialités indéniables dans plusieurs domaines qui ne relèvent pas de la falsification des diplômes et de l’histoire, comme vous l’avez exprimé. Seulement, le niveau n’est pas le même.

Buwuelm ,j'ai effectivement relu le 6e paragraphe et à l'évidence ou Niass s'est trompé ou l'incohérence est réelle. J'avoue Buwuelm que j'apprécie certains de vos commentaires très interessants par leur profondeur et leur sagesse.Mais ce débat de qui des Noirs Ou des Arabo berbères sont les 1er en RIM devrait etre clos. Chapeau encore pour votre sens de la réserve et de prudence.

Buwuelm diargua revenez sur terre ici on ne parle pas de théologie ou de fesses on parle ici d'histoire de paléontologie et archéologie. Et pace à Dr Niasse vous etes loin de faire le poids.Si vous essayez d'affronter les intellectuels Sénégalais, vous allez directement dans l'humiliation. Vous etes plutôt experts de falsifications de diplômes et d'histoire.

Du texte de Ahmed Khalifa Niass, hormis ses références islamiques. Qu’il est le seul à détenir! En matière de Fiq, de Sira, de Hadith, etc… Il ne donne JAMAIS SES RÉFÉRENCES !!! Le point important qu’il développe dans son texte est l’ANTÉRIORITÉ NÉGRO-BERBÈRE de l’ESPACE qu’on appelle aujourd’hui MAURITANIE! En effet les Sérères, les Lébous, les Wolofs et les Toucouleurs (différents des Peuls) habitaient cet espace jusqu’aux environs de l’Adrar!

Il y a des sites dans la région du Trarza qui démontrent bien cela : Tiguint, Dieuk, Breun, Keur-Masène, Ndiago, Ndiourbel (un quartier à Rosso qui fut la capitale du Waalo-Barak), Bareyna, Tounguène, Garack, Khomack (actuel Lac Rkiz) …. Dans d’autres régions on peut noter : Atar, Chinguiti, Oualata, Ouadane, Tijikja,

Si nous revenons dans les villages de Garack et Toungène, on y trouve des patronymes typiquement séréro-berbère : Diakhère / Diakhar, Sagaar, Thièye, Diole. Dial, Ndoumbé, Mbondé, Ndary, Diagne, Sène ….

Il y a un livre intitulé : @ HISTOIRE DE LA MAURITANIE @ écrit par Moctar Ould Hamidoune et Kane Élimane. Ce livre était la référence en histoire en classe de CM1 et CM2 Un livre qui a été banni de l’Éducation Nationale et dans les Bibliothèques nationales et internationales !?!? POURQUOI ??? Toute la logique est là! PARCE QUE TOUT SIMPLEMENT cette Histoire de la Mauritanie démontrait l’ANTÉRIOTÉ NEGRO-BERBÈRE de cet espace qu’on appelle aujourd’hui République Islamique de Mauritanie !?!?!

Mes COMPATRIOTES, le sous-sol mauritanien regorge en son sein pas seulement du gaz, du pétrole, de l’or, du fer, du cuivre…. MAIS nos historiens, archéologues et anthropologues doivent avoir le COURAGE d’interroger le sous-sol de notre Pays!

A VOS MARQUES LES CHERCHEUR.E.S!

Gourou Ahmed Khalifa Niasse, c’est de lui dont il s’agit. Cet individu est devenu, à travers ses déclarations, plus sordides, les unes que les autres, l’un des personnages les plus controversés de la place. Il a tellement retourné (ses) vestes, qu’il n’en a plus à retourner. En d’autres lieux, cet homme aurait été neutralisé depuis longtemps. Il croit évoluer au Couchant et au Levant, au même moment. Son omniprésence à toutes les cérémonies, lui confère une certaine visibilité qui le rassure. N’est-ce pas lui qui a enseigné : « QU’UN HOMME PEUT ENCEINTER L’ÉPOUSE D’AUTRUI, ATTENDRE QU’ELLE ACCOUCHE, SE RENDRE AU DOMICILE CONJUGAL DE LA FEMME, ET DEMANDER À SON MARI (QUI N’EST PAS LE PÈRE DE L’ENFANT, FRUIT D’UN ADULTÈRE) DE LUI (AU FORNICATEUR) PERMETTRE DE PROCÉDER AU BAPTÊME DU NOUVEAU-NÉ, DANS LA DEMEURE DE L’ÉPOUX, ET AMENER SON ENFANT ENSUITE, OÙ BON LUI SEMBLE ? » Quelle aberration ! Tous ceux à qui j’ai eu à parler à son sujet, trouvent les sorties de AKN, anormales et inquiétantes, surtout que M. Niasse est censé donner des cours de Théologie. Je suis vraiment désolé d’avoir repris les propos ci-dessus. J’ai hésité plusieurs heures, avant de décider de poster ce commentaire. Je n’ai fait que rapporter pour l’unique fois, des contre-vérités qui méritent réflexion. Cette histoire de flèche empoisonnée aurait été beaucoup plus intéressante, si Ahmed avait été logique au 6ème paragraphe. Il dit que « les Sérères ont effectué un voyage de mille kilomètres qui a duré près de mille ans ». Si l’on considère 1.000 ans et 1.000 Km, et si le calcul est fait, cela voudrait dire, mathématiquement parlant, que chaque année, nos « braves » sérères n’ont évolué que de 1 Km. Alors qu’est-ce qui a pu ralentir la descente de ces derniers, vers Diakhao ? Je pense après tout, que l’évènement manque de clarté.

De quelle universite a t il eu le doctorat ? Ce Monsieur est un veritable hableur. N a t il pas confirme que faire l adultere avec une ferme celibataire n'est pas un peche si apres cet acte s'ensuit un mariage entre les deux ?

Ce Monsieur prend les gens pour des idiots !l'histoire de la Mauritanie est bien connue. Il avait dit dans un temps non loin loin que faire l'adultaire avec une ferme n'est pas un peche si apres il y mariage entre les deux. Un vrai doctor

Voilà l'histoire authentifiée infalsifiable .Comprendre que les historiens et intellectuels Sénégalais connaissent mille fois mieux l'histoire de la Mauritanie que les Mauritaniens eux mm.Les archives coloniales et arabes sont toutes détenues au Sénégal impossible de mentir et de tricher.

Qu'on dise que sur le plan islamique les arabo berberes sont des élites de références celà est incontestable, mais qu'ils sont les premiers en Mauritanie, celà est un mensonge qui ne tiendra jamais debout.mm un nulard en archéologie et en paléontologie le demontre aisément. Cessons par un racisme fou de chercher à raconter des bêtises. Un iman et un musulman vrai ne mentent jamais. Cela mene à l'enfer.