22-12-2025 15:19 - Témoignage (Extraits) 4 : Par maître Taleb Khyar Ould Mohamed Mouloud*

Témoignage (Extraits) 4 : Par maître Taleb Khyar Ould Mohamed Mouloud*

Taleb Khyar Mohamed -- L’accès des bolchéviques à la tête de l’URSS en 1917 avec l’instauration du collectivisme, la prise du pouvoir par le parti communiste en chine sous la houlette de Mao Zedong et le miracle économique chinois dont les premiers signaux étaient déjà perceptibles, la montée du non-alignement et de ses leaders charismatiques comme Nehru, Gamal Abdel Nasser,

N’kwame Nkrumah, la prolifération de mouvements d’indépendance, y compris sous forme de dissidences armées, le recul en France de l’Etat jusque-là seul régulateur et perpétuel décideur, devant le durcissement des exigences sociales relayées par les soixante-huitards au moment de l'essoufflement des trente glorieuses, avaient profondément entamé la légitimité de la présence coloniale un peu partout dans le monde, et favorisé l’émergence planétaire d’un nouvel élan contestataire pour prévenir et combattre le colonialisme ressuscité sous une forme nouvelle, moins violente certes, mais qui n’altérait en rien la volonté de puissance et de domination du colon.

Ce bouillonnement à la fois culturel, politique, économique, ne pouvait être séparé du courant de pensée marxiste qui en était en grande partie le souffle idéologique, et c’est en classe de seconde que je succombai au charme de ce courant, perçu alors par mes semblables du même âge, comme émancipateur de la pensée politique héritée de la période coloniale.

Karl Marx était philosophe avant tout, témoin privilégié de la première moitié du XIX° siècle alors sous l’influence prépondérante de deux courants philosophiques dont il s’efforcera de faire la synthèse : l’idéalisme revu par Hegel, et le matérialisme revu par Feuerbach.

Il va dans un premier moment adhérer à l’idéalisme de Hegel au vu duquel l’évolution du monde se réalise sous la pression de tendances contradictoires constatant d’abord l’existence d’une chose (thèse) puis son contraire(antithèse) qui sera dépassé dans une étape ultérieure (synthèse).

Cette méthode de pensée dite dialectique séduit Marx dans un premier moment, mais il va s’en détacher lui reprochant d’être enfermée dans une pensée abstraite qu’il va dépasser en s’inspirant du matérialisme de Feuerbach, avant de faire la synthèse des deux courants philosophiques.

La principale illustration de cette synthèse consiste à définir le mode de production comme étant l’infrastructure de tout processus social, politique et intellectuel de la vie humaine, et c’est au vu de l’évolution de son mode de production que l’humanité aurait connu un communisme primitif (thèse) préalable à un régime de propriété privée (antithèse) avant de devoir évoluer irrémédiablement vers une société sans classes (synthèse).

Karl Marx est également contemporain de la misère ouvrière provoquée par la révolution industrielle ; il va donc s’intéresser à la théorie économique classique à travers la lecture de ses principaux auteurs : Smith, Malthus, Ricardo........auxquels il va finir par reprocher d’avoir dépouillé l’analyse économique de toute préoccupation éthique ou politique.

Il y avait dans cette littérature foisonnante , cette pluridisciplinarité de l’œuvre de Marx relevant à la fois de la philosophie, de l’histoire et de l’économie, quelque chose de fascinant , ce qui explique sans doute le succès qu’avait le courant de pensée marxiste, tout le monde pouvant s’y identifier, que l’on soit intéressé par l’économie, la philosophie, l’histoire ou toute autre discipline en rapport avec les sciences sociales.

Selon Karl Marx, c’est la force de travail et non le travail qui crée et détermine la plus-value que va s’approprier arbitrairement le propriétaire du capital.

La force de travail est perçue par Marx comme une marchandise dont la valeur d’échange versée par le capitaliste sous forme de salaire est dévaluée pour n’assurer qu’un revenu minimum nécessaire au seul entretien de l’ouvrier et de sa famille ; c’est cette inégalité entre la valeur d’échange de la force de travail et le salaire versé en contrepartie qui est génératrice de plus-value.

Pour arriver à cette épilogue, Marx s’approprie les instruments d’analyse économique empruntés aux classiques, et notamment la théorie de la valeur travail égale au minimum nécessaire à la subsistance ouvrière, d’inspiration ricardienne* dont il va finir par se détacher en dénonçant l’exploitation de la force de travail, et non du travail, par le capital .

La force de travail est une marchandise qui incorpore la valeur d’usage du produit et sa valeur d’échange, or en se limitant à la seule valeur d’échange pour déterminer le salaire, celui-ci s’en trouve dévalué à hauteur de sa valeur d’usage.

Cette différence entre valeur d’usage et valeur d’échange va créer la plus-value que s’approprie arbitrairement le capitaliste.

Marx considère toutefois que le profit ainsi obtenu va évoluer au fil de l’histoire vers une baisse tendancielle pervertissant de la sorte le mode de production qui n’enrichira plus qu’un groupe restreint de capitalistes ; dans le même temps, l’évolution de la technique de production connaîtra un mouvement inverse caractérisé par une collectivisation de plus en plus poussée.

Cette contradiction entre le mode de plus en plus restreint d’appropriation privée des moyens de production et leur collectivisation de plus en plus poussée, va provoquer une crise économique suivie d’une autre d’ordre politique qui va déboucher sur la prise du pouvoir par le prolétariat.

J’avais été fortement impressionné par les enseignements de la longue marche de Mao Zedong courant l’année 1935, tout au long de laquelle il avait transformé la mentalité des paysans régis auparavant par un rapport de production à la fois féodal et théocratique, pour faire d’eux les acteurs principaux de l’émancipation de la Chine vers une nouvelle puissance avec laquelle il fallait dorénavant compter.

Le génie de Mao Zedong a été de faire jouer à la paysannerie chinoise le même rôle que celui de la classe prolétarienne dans une société industrielle, alors que pour Karl Marx, c’est la paupérisation dont la source se trouve dans l’appropriation par le capitaliste de la plus-value qui va créer un prolétariat, rejoint progressivement par une partie de la classe capitaliste appauvrie du fait de la baisse évolutive de cette plus-value ; c’est la plus-value qui crée le prolétariat, mais c’est l’évolution vers une réduction tendancielle de cette plus-value qui va provoquer la paupérisation de la majorité des capitalistes, les conduisant de la sorte à rejoindre la classe prolétarienne dans son mouvement insurrectionnel contre le capital.

De la même manière que Karl Marx va détacher l’histoire de son fondement idéaliste, en transposant le produit de la triade hégélienne (thèse, antithèse, synthèse) dans l’ordre social, politique et intellectuel, de cette même manière, Mao Zedong ne retiendra du matérialisme dialectique de Karl Marx que le poids du mode de production ; il suffit que ce mode de production soit collectif pour faire jouer à la classe paysanne chinoise le même rôle révolutionnaire que celui du prolétariat dans une société industrialisée.

Plus tard, Alain Peyrefitte, académicien et homme politique français va décrire les causes et les conséquences du miracle chinois sur l’état du monde dans son livre publié en 1973 sous le titre : « Quand la Chine s’éveillera….le monde tremblera ».

Ce livre est encore d’actualité, et les dirigeants du tiers monde devraient s’en inspirer pour apprécier à sa juste valeur l’intérêt qu’il y a à surmonter les défis de l’arriération et de l’aliénation culturelles, afin d’envisager sérieusement la mise en place de modes de production et de distributions des richesses nationales où l’égalité, l’éducation, la santé, le plein emploi et l’amélioration des revenus seront à la fois prioritaires et accessibles à tout un chacun.

Il ne sert à rien de rester coincé dans l’équation insoluble de la croissance du produit intérieur brut (PIB) qui équivaudrait à une amélioration de la qualité de vie des citoyens ; rendons-nous à l’évidence et admettons qu’en ce qui concerne les pays endettés comme c’est le cas en Afrique, l’amélioration du produit intérieur brut (PIB) est pensée pour faciliter le remboursement de la dette publique, non pour améliorer la qualité de vie des peuples appartenant à ces pays qui, comble du paradoxe, agitent des taux de croissance performants, parfois à deux chiffres, alors que leurs populations vivent à plus de 80% sous le seuil de pauvreté.

Des indépendances à nos jours, les principaux indicateurs de soutenabilité de la dette que sont les positions extérieures globales nettes (PEGN) extraites des balances de paiement ont toujours été systématiquement inférieures à zéro pour la majorité des pays africains, ce qui veut dire que ces pays ont toujours été débiteurs nets vis-à-vis du monde.

C’est en effet autour de la viabilité des balances de paiement que tout se joue, et c’est le lieu ici de rendre hommage au père de la nation, maître Moctar ould Daddah, paix à son âme.

Sur ce plan, il a su mettre la Mauritanie à l’abri de toute instabilité financière par la création d’une monnaie nationale en 1973, immédiatement adossée l’année suivante à la nationalisation de la Miferma , preuve de la puissante perception prédictive qu’il avait de la complémentarité de ces deux décisions dans la lutte contre ce que son homologue Léopold Sedar Senghor qualifiait déjà de détérioration des termes de l’échange, et qui n’est autre que la menace d’une dégradation quasi-chronique des balances de paiement des pays africains, principal obstacle à leur souveraineté économique.

Cette approche a inspiré les politiques économiques des régimes qui ont succédé à l’ère Daddah, notamment par son extension au secteur de la pêche sous Mohamed Khouna ould Haidalla, avec l’obligation de rapatriement des devises générées par la commercialisation des produits halieutiques.

Hélas ! Au milieu des années 80, la Mauritanie n'allait pas tarder à tomber dans les errements d’une politique budgétaire tous azimuts, sous le triple effet des programmes d’ajustement structurel, de l’impuissance de la Banque Centrale à mettre en place une politique monétaire efficiente, et d’une détérioration constante de la balance de paiements.

Il en a résulté une crise de liquidité sans précédent, au point d’envisager sérieusement la vente de la SNIM , considérée jusque-là comme le principal outil de souveraineté économique du pays.

Aussi longtemps que nous n’admettrons pas que l’homme est une ressource, nous continuerons à le piétiner au bénéfice de ce que nous appelons pompeusement « les objectifs de stabilité macro-économique », qui ne sont ni plus ni moins que des objectifs travestis de finances publiques, forcément sources de pressions macro-économiques.

Les effets toxiques des politiques budgétaires soutenues par l’endettement sont perceptibles : -Vis-à-vis de l’extérieur, une dette qui se répète et s’amplifie d’une année à l’autre, d’une génération à l’autre, atteignant des proportions astronomiques au point d’en devenir non viable, ce qui pousse les pays endettés à accepter la tutelle du prêteur ou à user de voies de contournements pour dénicher des fonds vautours qui leur prêteront ou accepteront de prendre en charge leur dette à des conditions ruineuses pour le pays.

-Lorsque les banques centrales sont fortement impliquées dans les politiques budgétaires par les prêts à l’Etat, et/ou la mise en place de politiques de resserrement monétaire, cela se traduit mécaniquement par une éviction du secteur privé au bénéfice du secteur public.

Cette éviction du secteur privé explique en grande partie l’impuissance des pays concernés à mettre en place une politique conséquente de lutte contre la gabegie, l’Etat lui-même s’érigeant comme le principal obstacle à toute discipline budgétaire.

-Successions de désordres politiques dus à l’insoutenabilité à terme du financement des Etats emprunteurs sous l’effet de pressions budgétaires permanentes.

Très vite, je rejoignis l’équipe restreinte admise à publier des articles dans le journal « Sayhatou el madhloum » (le cri de l’opprimé) présenté comme celui de la résistance clandestine de l’époque.

Ma nouvelle vie de militant m’apparaîtra plus tard comme ayant été un point de bascule entre l’élève assidu que j’avais été, et le contestataire que j’allais devenir, peu soucieux de son parcours académique.

Je passais le plus clair de mon temps à remettre en cause l’ordre établi à travers des discours mobilisateurs aussi bien au lycée qu’ailleurs, et qui se concluaient invariablement par mon arrestation et ma conduite au poste principal de police de Rosso où le commissaire Moussa Koita, paix à son âme, personnage affable et profondément imbu d’humanité me gardait pendant quelques jours avant de me libérer après mille et un conseils pour me ramener à la raison, et m’inciter à m’intéresser davantage à mes études.

Sans égard pour ses conseils et son attention désintéressés, je reprenais le lendemain mes activités subversives, jusqu’à ce qu’une brigade de gendarmerie nous surprit au plus profond de la nuit, deux de mes compagnons et moi-même, en train de barbouiller des murs de quartiers non éclairés, de slogans dénonçant l’arbitraire du régime.

Plus âgés que moi et mieux baraqués, mes compagnons échappèrent à la poursuite des éléments de la brigade de gendarmerie, alors que je fus maîtrisé par mon poursuivant.

Etait-ce le fruit d’un rapport de forces, ou celui d’un traquenard ? Cette question n’a jamais cessé de me tarauder l’esprit, et je n’aurai le cœur net sur le dénouement de notre cavale que bien plus tard, bien des années plus tard, lorsque j’appris que l’un de mes compagnons d’infortune avait épousé la fille d’un personnage politique influent de l’époque, et que l’autre avait bénéficié de marchés publics juteux, lui ayant permis de se faire très vite une réputation de richissime homme d’affaire, avant de s’adonner publiquement dans des conférences et autres regroupements largement médiatisés, à l’apologie des faits d’armes de sa tribu dans la lutte contre l’occupation coloniale, en quête d’un faire-valoir qu’il ne tarda pas à monnayer sur le plan politique.

Cette expérience malheureuse allait me conduire à adopter une posture de méfiance vis-à-vis de tous ceux qui, sous le prétexte de dénoncer les abus des régimes en place, n’en sont en réalité que les valets ; je devais constater au fil du temps que très peu de ceux que j’avais connus pendant cette période étaient restés fidèles aux convictions qu’ils affichaient faussement.

Le mauritanien ne s’est jamais émancipé de cette ambiguïté qui lui permet de jouer du paraître à la perfection , pour mieux dissimuler l’essence de son être ; le célèbre dicton à propos de celui qui sait « nager sans se mouiller les habits » est à la mesure du mauritanien, et lui sied à merveille.

Cette fois, je ne fus pas conduit au poste de police, mais au camp de gendarmerie où je fus jeté dans une cellule sordide, un véritable réduit dans lequel je pouvais à peine tenir, en attendant d’être transféré à Nouakchott où je devais être jugé comme cela m’avait été annoncé de manière menaçante par un de mes geôliers qui m’avait hurlé au visage :« Quand tu seras jugé et condamné, tu reviendras à la raison, et tu apprendras à tenir en place ! ».

De toute la nuit, je ne pus dormir à cause de la chaleur et des moustiques dont le bourdonnement continu était ponctué de piqûres qui m’enflammaient tout le corps.

C’est seulement au petit matin que la lueur du jour naissant me parvint à travers la grille qui surplombait ma cellule , encore plongée par endroits dans la pénombre; j’entendis alors un grincement puis la porte de mon lugubre cachot s’entrouvrit, annonçant la présence d’une personne longiligne dont l’uniforme dévoilait l’appartenance à l’armée ; je sentis sa main me happer l’épaule, puis je fus traîné tout au long du couloir jusqu’à l’enceinte du camp de gendarmerie où était garée une jeep dans l’arrière de laquelle je fus jeté comme un fétu de paille.

Après un démarrage en trombe, la jeep fila d’un trait avant de s’arrêter brusquement à proximité de la maison ; se retournant, mon sauveur me fit mécaniquement signe de quitter le véhicule.

Tout s’était passé très vite, mais durant le trajet éclair, j’avais eu le temps d’identifier le conducteur de la jeep qui n’était autre que le commandant de la sixième région militaire. Réputé diplômé de la prestigieuse Ecole militaire spéciale de Saint Cyr, on disait de lui qu’il avait réussi brillamment ses études secondaires, couronnées par un baccalauréat en mathématiques, diplôme dont les détenteurs ne couraient pas les rues, à l’époque.

Cependant, il ne m’était pas familier, ne faisant pas partie des ressortissants du Nord qui fréquentaient assidûment la maison, contrairement à beaucoup de ses promotionnaires qui avaient transité par le lycée de Rosso avant de rejoindre certaines académies militaires comme celle localisée à Yaoundé, ou en d’autres endroits du monde.

Je puis dire que je n’avais de lui qu’un vague souvenir , et c’est plutôt son cursus scolaire, puis son parcours au niveau de la prestigieuse école militaire de St Cyr qui m’étaient restés gravés dans la mémoire et qui m’impressionnaient le plus.

Pour toutes ces raisons, je continue aujourd’hui encore à m’interroger sur sa divine intervention qui allait me soustraire aux griffes du procès que l’Etat s’apprêtait à m’intenter et pour la tenue duquel je devais être transféré à Nouakchott.

Cette intervention sera également le début d’un processus de remise en cause de mes convictions, aboutissant à plus d’humilité et de modération dans l’expression de mes engagements………………..

*Avocat à la Cour
*Ancien membre du Conseil de l’Ordre


*David Ricardo dont la théorie de la valeur travail a servi comme point de départ aux analyses de Marx, considère que la valeur d’un bien est proportionnelle au « travail moyen socialement nécessaire pour le reproduire », ce qui rend selon Marx cet échange stérile, et va le conduire à remplacer la notion travail par celle de force de travail qui aurait non seulement une valeur d’échange , mais également une valeur d’usage supérieure à la première, la différence entre les deux, représentant la plus-value que s’approprie arbitrairement le capitaliste.

Pourfendeur intraitable de la dette publique qui ne serait selon lui qu’un impôt différé, David Ricardo en dénonce le caractère pervers dans son approche dite « équivalence ricardienne » ; dans l’une de ses interventions marquantes au niveau du parlement britannique dont il était membre, il fustigeait la dette publique en ces termes : « Notre pays serait le plus heureux du monde et sa prospérité dépasserait tout ce que l’on peut imaginer si nous nous débarrassions de deux grands maux : la dette publique et les lois sur les céréales ».

Sa principale contribution à la pensée économique est illustrée dans son ouvrage paru en 1817, sous le titre « Des principes de l’économie politique et de l’impôt ».



Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité


Commentaires : 0
Lus : 618

Postez un commentaire

Charte des commentaires

A lire avant de commenter! Quelques dispositions pour rendre les débats passionnants sur Cridem :

Commentez pour enrichir : Le but des commentaires est d'instaurer des échanges enrichissants à partir des articles publiés sur Cridem.

Respectez vos interlocuteurs : Pour assurer des débats de qualité, un maître-mot: le respect des participants. Donnez à chacun le droit d'être en désaccord avec vous. Appuyez vos réponses sur des faits et des arguments, non sur des invectives.

Contenus illicites : Le contenu des commentaires ne doit pas contrevenir aux lois et réglementations en vigueur. Sont notamment illicites les propos racistes ou antisémites, diffamatoires ou injurieux, divulguant des informations relatives à la vie privée d'une personne, utilisant des oeuvres protégées par les droits d'auteur (textes, photos, vidéos...).

Cridem se réserve le droit de ne pas valider tout commentaire susceptible de contrevenir à la loi, ainsi que tout commentaire hors-sujet, promotionnel ou grossier. Merci pour votre participation à Cridem!

Les commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité.

Identification

Pour poster un commentaire il faut être membre .

Si vous avez déjà un accès membre .
Veuillez vous identifier sur la page d'accueil en haut à droite dans la partie IDENTIFICATION ou bien Cliquez ICI .

Vous n'êtes pas membre . Vous pouvez vous enregistrer gratuitement en Cliquant ICI .

En étant membre vous accèderez à TOUS les espaces de CRIDEM sans aucune restriction .

Commentaires (0)