Cet homme a la barraca. Quelle est sa recette pour réussir ? Ses accointances ? Comment peut-il être un responsable de la Ceni après avoir été viré de Radio Mauritanie pour mauvaise gestion de l’établissement. Sous sa direction, l’état financier de l’institution fut l’un des plus calamiteux de l’histoire de la radio où il avait servi auparavant comme simple reporter. On appelle ça,« délit d’initié» connaissant parfaitement les rouages de la boîte. L’IGE qui l’a épinglé et mis en demeure de rembourser les deniers publics détournés ne me démentira pas.

Le poste de porte-parole de la CENI est très important pour être confié à un homme qui n’inspire pas confiance. Que va-t-il nous servir ? Ses passages à Nutricom, au Secrétariat de l’UMA, à la Santé en dit long sur son parcours de prédateur impénitent.

Dans les nominations en Mauritanie, il faut procéder à une enquête préliminaire de bonne mœurs et de bonne moralité. La notion de bonne gouvernance dont on nous rabat les oreilles commence par là. Autrement la porte est ouverte à la gabegie que les limiers de l’IGE encourage. Et quand les tribus, les religieux et autres s’en mêlent, il ne faut rien espérer du reste. J’en ai la nausée

Dans une république dite « islamique », c’est révoltant dans toute l’acception du terme. Comprenne qui voudra.