L incolore et indolore de PM doit appliquer la loi et permettre à SOS esclave d'ester en justice. Il doit virer IRABIHA en là nommant ministre de la propagande.Cette damitude va de réunions en réunions internationales pour contre carrer Biram : on connait les résultats........................ Appliquer la loi, ce n est pas compliquer si on est de bonne foi.......le reste c'est du flan.

Tant que Son Altesse Royale le Prince dirige l'Agence Tadamoun aucune réalisation de lutte contre les sequelles de l'esclavage ne sera réalise.MAJESTE PRINCE n'intervient que dans des localités bien ciblée la se trouve la vrai feodalité dirigée par un deputé ou un senateur.

Je sors très rarement de chez moi depuis que j’ai pris ma retraite pour des raisons personnes: âge, santé précaire. Je suis sorti, cependant aujourd'hui vers 11 heures. . L’ aller et le retour n'ont pas pris 30 minutes. J'ai vu au cours de cette sortie un phénomène nouveau, pour moi en tout cas. Des charrettes chargées de poubelle dont les charretiers sont des enfants de 08 à 10 ans. J’ai compté 16 enfants. Il y en avait 4 sur la première charrette, 3 sur la deuxième, 3 sur la troisième, 3 sur la quatrième et 3 sur la cinquième. Je pouvais peut-être voir plus d’enfants à la tâche si je m’étais promené un peu. Au retour à la maison, j’en ai parlé au moment où un skeker lisant le journal à la TV donnait l’information sur ce comité justement. Je disais que si nos enfants de 8 à 10 ans travaillent au lieu d’étudier, c’est tout à fait normal que nous soyons esclaves. Monsieur le PM. Pour lutter contre l’esclavage ou les séquelles de l’esclavage, c’est pareil, il faut : • Obligez les parents, par la loi qui existe mais sans décret d’application, à envoyer leurs enfants à l’école. - Ouvrez des écoles spéciales pour les enfants des familles pauvres et mettez-y des internats - Imaginez des politiques d’éradication de la pauvreté. - Veuillez au respect des lois et conventions relatives au travail dans les usines, dans les ports, les aéroports, sur les chantiers etc. - Faites des facilités aux entrepreneurs issus des classes défavorisés (impôts, financement).

Monsieur le premier ministre vous n'avez besoin ni de feuille de route, ni de carnet de route. Ceci est un problème qui ternit l'image du pays et menace sa cohésion. Depuis le président Haidalla et même avant on interdit l'esclavage et on re-interdit l'esclavage et on re-re-re-interdit l'esclavage. Il est presque à croire que nous sommes amoureux de nos malheurs. On n'entretient pas une maladie contagieuse et mortelle, on l'éradique, on la foudroie. Utilisez les mass media pour redresser les mentalités aussi bien des "bourreaux" que des "victimes". Ceci est primordial et urgent. Il ne doit pas s'étaler sur 2015…2016…2017… allant à l'infini, comme une suite illimitée. Sacrifiez quelques sous de tous ces sous qui vont dans les futilités, pour engager une action économique d'envergure pour ces pauvres. Une action programmée et suivie qui soit générale et visible a l'œil nu. Les réunions sur l'esclavage doivent se tenir sur le terrain et non pas dans les hôtels, pour que quelques opportunistes s'emparent de la cause pour se graisser les poches. D'ailleurs pourquoi ces réunions? Qu'est ce qu'elles ont apporté ou changé depuis le point de départ? Pas grand-chose! Remarquez, monsieur le premier ministre qu'aucun des programmes que vous diffusez à la TV ou à travers la radio, ne s'occupe d'expliquer aux anciens esclaves qu'ils sont des citoyens comme tout le monde et que personne n'a le droit de les asservir au nom de Dieu ou de la naissance.

nous continuerons d'avoir l'esclavage tant que nous avons pas d’égalité de chance entre les différentes races ou ethnies de la Mauritanie

ce n'est pas une feuille de route mais une feuille pour rouler. Avec cette manière la lutte contre l'esclavage et son éradication selon les acteurs officiels et activistes n'avancera d'aucun iota. On sera toujours au point de départ au prochain mandat. Ce n'est pas l'improvisation et les coups de communication qui feront rpogresser mais des choses concrètes qui peuvent être identifier en allant sur le terreau des pratiques esclavagistes