« Les serviteurs du tout miséricordieux sont ceux qui marchent humblement sur terre, qui, lorsque les ignorants s’adressent à eux disent : Paix ». Coran 25/63. Madame Niang, née Binta Tandia vient de nous quitter sans bruit avec les arguments de l’exception de la mort douce d’une personne bénie de Dieu.

Vous qui l’avez connue, ne l’oubliez pas dans vos prières en ce troisième jour où le saint coran sera lu pour le repos de son âme. Binta, qui ne se souvient pas de l’entame de ton mariage avec Mactar Niang ? Tu as fais face à la féodalité de certains de tes proches pour leur dire « l’aime mon mari ! », qui n’est autre que le fils d’une grande famille wolof.

Tous deux vous avez fait face à biens des tourments pour maintenir votre union. Tu fus pour le petit fils de Diadine Niang, une épouse modèle, réussissant à chaque fois à lui remonter le moral en restant une mère pleine d’affection pour vos enfants. Ta sagesse et ta bonté resteront à jamais gravées dans nos cœurs.

Mactar, mon jeune frère, c’est dans l’épreuve que l’on voit ses amis, Oumar Naham, Abou Bailla Kane, Pape. A. Sow, Mamadou Diawara, Boubaye Niang, Alpha Sow et leurs familles sont tous présents pour compatir avoir avec toi, à travers une pensée pieuse à Binta.

A travers ma modeste personne, Cridem, partage avec vous, cette douloureuse circonstance. Nous vous présentons nos condoléances les plus émues de même qu’a notre confrère Kissima Diagana, le cousin de Binta. « Ina Lillah Wa Ina Iley Hi Rajioun ». 4 Fatiha, 12 Likhlass, plus 12 Salatoul Fatiha.

ADN