A chaque fois que des jeunes dynamiques, intègres et compétents engagent le pays vers le développement et le progrès, ils sont aussitôt attaqués par une vieille garde corrompue, incompétente et rompue aux méthodes de la diffamation et aux mensonges chers aux pires régimes d’exception.

Hier, c’était le jeune Mohieddine Saleck qui était chargé par le gouvernement de doter le pays d’un aéroport digne de ce nom, qui s’est vu accuser de tous les torts et de tous les vices par cette même pègre à qui, il vient tout juste de délivrer une réponse cinglante par l’achèvement du joyau qu’est l’aéroport international Oumtounsy.

Aujourd’hui, c’est Mohamed Daf et la jeune et compétente équipe qui l’entoure qui sont l’objet d’une campagne de dénigrement sans précédent. Curieusement, c’est au moment où cette équipe vient de réussir à concrétiser le rêve de la ZFN et de transformer radicalement le visage de la ville de Nouadhibou, qu’elle est attaquée par cette mafia habituée à travailler dans l’ombre et à se nourrir de la corruption, des dessous de table et du trafic d’influence.

Ce qu’ils n’ont pas encore comprit, c’est que dans le monde de la transparence et de la clarté, les chauves-souris et autres insectes de l’obscurantisme n’ont aucune chance de survivre.

La Zone Franche n’a rien déchiré du tout, tout cela relève du sensationnel commandité. Mais au fond, ce qui est en jeu à Nouadhibou, c’est la réussite ou l’échec de la politique économique du Président de la République. Ce qui se passe à Nouadhibou, c’est la confrontation de deux idéologies, de deux visions de la Mauritanie : d’un côté, une administration incompétente et inculte (le marché de bétail et l’abattoir juste à l’entrée de la ville ce sont eux…), qui se cramponne à ses passe-droits, à ses sources d’enrichissement illicite, alliée à une faune de « politiciens» manipulateurs, cupides, tapageurs et particulièrement inefficaces (les 17,93% de l’UPR à Nouadhibou en 2013, ce sont eux…), qui veulent continuer à vendre des courants d’air au Président de la République, et vivre indument « sur la bête ». En face, un mode de gestion discret mais terriblement efficace, une vision technocrate résolument moderne de la gestion de la chose publique, qui réalise concrètement de grands projets structurants, qui croit en l’avenir de la wilaya et du pays, qui porte fidèlement et résolument la politique du Président de la République. Nous voici donc au point d’inflexion à partir duquel nous saurons vers quoi nous allons, ou alors vers quoi nous revenons.

C'est du n'import quoi çà. vous ne trouvez comme informations à traiter que cette histoire de portrait en quoi çà nous intéresse. peut etre nous distraire des vrais problèmes que nous vivons...

Bonjour, En tant que citoyen de Nouadhibou, permettez-moi de parler du conflit actuel entre la ZFN et la wilaya. Mais avant de parler du conflit, on sait bien, nous les citoyens de Nouadhibou que notre ville, avant la ZFN, était quasi morte en raison du manque de l'infrastructure cruciale, doté d'un Port crée en 1968. Le taux de chômage a atteint des niveaux très élevés. Dès l’arrivée du Président de la République en 2008, il a commencé à donner plus d’importance à notre ville en créant par la suite une zone franche et qui aura beaucoup d’apport non seulement sur la vie des populations de Nouadhibou mais également sur toute l’économie nationale. En ce qui concerne le conflit entre le wali et le président de la ZFN , je pense qu’il s’agit d’un malentendu par le wali à l’égard de la ZFN. Cette diffamation est lancée par le wilaya à l’égard de la ZFN.