22-08-2016 23:15 - Noyade en Mauritanie: Un Sénégalais meurt en voulant sauver un enfant

Noyade en Mauritanie: Un Sénégalais meurt en voulant sauver un enfant

SeneNews - Le Sénégalais Souébou Ndiaye, couturier résidant en Mauritanie, s’est noyé hier, dimanche 21 août, en voulant porter secours à un enfant. Hélas, tous les deux ont été emportés par les eaux mauritaniennes.

Son compatriote Saliou Gueye, couturier de son état aussi, raconte qu’ils étaient à la plage tous les deux pour se baigner. Soudain, ils ont vu un enfant en train de se débattre dans la mer.

Parti à son secours, Souébou Ndiaye n’a pas pu sauver l’enfant, ni se sauver lui-même. La mer aura été sans pitié ! Tailleur de profession et natif de Touba, Souébou Ndiaye était âgé de 30 ans.





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Commentaires (5)

  • Mokhoni (H) 23/08/2016 14:03 X

    CET homme a un grand coeur et vraiment courageux qu ils se retrouvent lui et l enfant dans les beaux jardin du paradis amine

  • Moulay Ely (H) 23/08/2016 11:06 X

    Que Dieu ait son âme et le récompense. Rahmatoulahi alaihi. Dommage, à 30 ans!

  • mystere1 (F) 23/08/2016 09:46 X

    Paix à leurs âmes ! Ce Shouaîbou N’diaye avec son geste humain, et héroîque ! vis à vis de cet enfant dont celui-ci a voulu sauver ! Que Dieu leurs Pardonne et l’Accueille en Son Grand Infini Paradis, c’est émouvant, triste et touchant ! Mais ce sont quand même des martyrs ! Donc il n’y a rien à craindre pour eux ! C’est direct au paradis !

  • amiine (H) 23/08/2016 06:21 X

    Es’salamou eleikoum, Acte plus que noble, qu'ALLAAH, nous pardonne et lui pardonne et l'accueille et tous nos morts dans Son Paradis Firdaws, amiin. C'est un geste qui montre que la race humaine est une malgre les differentes nationalites, langues, couleur,... Wes’salamou eleykoum.

  • cccom (H) 23/08/2016 00:17 X

    Encore une faute administrative sécuritaire. L’Administration, c’est la prévision de la prévention. Je réitére ma demande formulée au Gouvernement le debut de cette année,lors du décés de mon fils Sidi par Noyade à Rosso (ce brillant étudiant de l’ISET) de doter tous les villages du fleuve de 2 scaphandres aux coût de 60.000 UM (moins cher que les téléphones que nous payons à tous nos enfants du foyer) et d’y former deux jeunes plongeurs pour des interventions de sauvetage de vies humaines dans de telles situations quasi quotidiennes sur le fleuve. cheikhany_ouldsidina@yahoo.fr