@Kanou_matam, on n'a plus de mots pour qualifier cette calamité que constitue la gestion de Ould Abdel Aziz, c'est pourquoi, il faut saluer les journalistes comme Mr Gueye pour décortiquer. Il ne faut pas oublier que Mr Gueye était en personne sous les radars de Ould Abdel Aziz qui se croyait intouchable donc insensible à tout conseil.

Aziz n'a pas encre été entendu par la commission et peut être ne le sera t-il jamais !

Article pertinent et impartial Kanou_matam ne sait pas faire la différence entre le bon et le médiocre journaliste, sinon il n'aurait pas pollué notre espace intellectuel de haut niveau avec son commentaire qui sent la jalousie des intellectuels lucides Courage Bakary On a hate de lire les prochains éditoriaux

En effet, il est dans de sales draps ces jours-ci, le titre va bien (les déboires de l’ex-président Aziz) il est seul face aux hommes de sa communauté qu’il avait tout donnés et tout fait, ce qui est malheureux pour l’homme de Nktt, aucune voix ne s’est élevée pour le défendre, aucune même c’est plus proche ne sont entendu dans les recoins les plus reculés de cette terre, mais seulement il faut considérer que l’homme n’avait d’amis que l’argent et les honneurs, il y’a un proverbe qui dit que, si tu tues tes ennemis, tu fini tes parents. Autre chose frappant dans cette histoire, aucun homme de couleur ne fait partie de ces amis d’hier fortuné ni aujourd’hui à part Boidiel, il faut savoir que de TASIAT à la SNIM tous les hommes d’affaire se sont retournés contre lui sans hésiter, pour sauver leurs têtes et les intérêts qu’ils ont déjà amasser sans raison, voilà pourquoi le racisme ne paye jamais. Mr Kanou_matam (H) le journaliste ne crée pas du faux et doit donner l’infos juste, je m’excuse d’interférer.

M. Guèye, c’est bien d’être régulier et prolixe, cependant votre article n’apporte aucune information nouvelle. Avec de telles lapalissades, les lecteurs de cridem risquent de s’ennuyer terriblement. Je vous conseille sincèrement de vous investir plutôt dans les faits de société et le domaine socioculturel afin d’éviter les sentiers battus, et qui, le plus souvent, ne mènent qu’à un chemin de traverse.

En tout cas ce qui est certain c'est qu'à l'issue du travail de cette commission, la Mauritanie sera un pays normal, gérable, ou ne sera pas.