Biram a eu position claire par rapport au dossier AZIZ . Il avait préférer une commission d’enquête à compétences plus élargies incluant les problèmes des violations droits de l’homme ,de l’esclavage ,de l’exclusion (pour ne pas dire le mot qui fâche )... Maintenant si des francs tireurs de la dictature ,de l’injustice et de pratiques antipatriotiques s’en prennent à Biram à travers une députée en maille de popularité,c’est tout à fait normal. Leur boussole c’est l’opportunisme politique ,en espérant les faveurs de l’actuel régime !!! La boussole de Biram ce sont les intérêts vitaux de toutes les populations. Continuez à vociférer contre Biram et les combattants de la liberté,cela ne fera que favoriser ce changement que tous les mauritaniens attendent ... Ce que Biram a fait pour ce peuple n’a jamais encore était fait par aucun autre politique.

Biram est aujourd'hui le premier opposant de ce pays et il dispose d'un electorat stable et fidèle contrairement à d'autres qui du fait de la transhumance politique entre PRDS, l'UFD, le RFD et aujourd'hui "presque" UPR et qui ont perdu toute crédibilité.

Ce qu’il nous faut comprendre pour le cas de Biram, il n’est là pour la justice pas autre. Quand le premier président disait : « La Mauritanie contre vents et marées » cette phrase ne vous inspire quelque chose !

Biram a raté l’histoire le jour où il a choisi de ne pas faire parti de la commission d’enquête, il a raté son virage, il est allé directement dans le ravin, il croit que les mauritaniens ne l’ont pas compris, il pense que les enfants de la rue n’ont pas compris son jeu à la mèche et des allumettes, pose-moi sans m’allumer je le ferai seul, à tort ou à raison, pourvu qu’après le compte y sera. Biram que tous les mauritaniens aimés est devenu aussi ridicule en lui-même qu’il chante seul les louanges d’Aziz, Aziz qui a protégé pendant 10 ans les esclavagistes avec l’accord de Biram et ceux qui croient en l’argent, tous les mauritaniens savaient que Biram était un agent de l’état et un pion de l’extérieur qu’il fallait protéger pour le meilleur et le pire des situations. Mais Madame seule les Traitres ratent des occasions de ce genre historique

Mais Mme Mouna Mint Dey, vous dites très haut ce que les autres pensent tout bas et savent de façon plus explicitent que Biram est un instrument de travail au profit de la communauté de ceux qui nous gouvernent, Mme, la situation de Biram et Aziz est comme un couple de jeune marié qui s’accouplaient quand cela leur semble bon et divorcaient quand il faut faire du bruit dans le camp adverse, Biram le sait et tous les mauritaniens le savent, Biram était un instrument politique et raciste de l’ex-président et il cherche par tous les moyens d’être l’instrument de musique du nouveau président Ghazouani, seulement Aziz était plus accessible que son successeur, mais Biram fera tout pour être parmi ses ouailles à prendre ou à laisser dans les rues de Nktt.

Un tacle glissé appuyé pire que celui de Perrin sur M'bappé. Nous avons c'est vrai des doutes sur cette expression sur la relation du "produit avec son inventeur". Franchement les soutiens de Biram doivent nous expliquer son absence !

Madame, je voudrais bien savoir quel est le rapport entre l’esclavage et les droits de l’homme d’un côté et de l’autre, Le rapport de la commission. Essayer plutôt de présenter quelque chose de concret aux peuple mauritanien qui attend que justice lui soit rendue, pour l’instant Madame, il n’y a qu’un bout de papier. Nous attendons la suite : une vraie justice, une vraie égalité entre les mauritaniens, pas du blabla madame.

Aziz et Biram ne sont que les deux faces de la même pièce tant leur complicité était avérée dans toutes sortes de deals (entre ceux qui ont fini par être connus de l'opinion publique et ceux ignorés jusqu'à présent) nous seront révélés par cette commission, il n'y a que les inconditionnels du Mandela de pacotille qui inonderont cette page de commentaires pour insulter cette dame pour avoir "blasphémé" vis a vis de leur totem avec le seul argument qu'il ne pouvait être son complice parce qu'il a été emprisonné sous son règne.