Hartaniya Firilile (H)Jemil n'a absolument rien dit de tout ce que tu viens de raconter. Ça ce sont tes paroles, ta petite tete plein de haine qui a accouché ça.

Si, oh que si; Il y a parfois des raisons de défendre les clandestins !!!! Mais pour cela il y a , il y a eu et il y aura toujours "des fous" pour le faire.

La position de Jemil Mansour sur la gestion de l'immigration en Mauritanie est judicieuse et reflète un véritable souci pour le bien-être des citoyens. La situation géographique stratégique du pays en fait effectivement une voie de transit majeure pour les migrants vers l'Europe.

Il est crucial de reconnaître l'impact significatif de cette immigration sur l'économie locale. Nos concitoyens font face à une concurrence accrue pour les emplois, ce qui a aggravé la pauvreté dans certaines communautés. De nombreux Mauritaniens ont vu leurs opportunités de subsistance diminuer, mettant en péril la stabilité de leurs familles.

Une régulation équilibrée de la situation est donc nécessaire et bénéfique pour tous. Il est important de mettre en place des politiques qui protègent les intérêts des Mauritaniens tout en respectant les droits humains fondamentaux. Cela permettra de préserver les emplois locaux et d'assurer une coexistence harmonieuse entre tous les résidents du pays.

Les travailleurs étrangers, bien que temporaires, employaient la main-d'œuvre locale à des tarifs extrêmement bas, leur permettant à peine de subvenir à leurs besoins et d'économiser pour leur prochain déplacement. Cette situation s'est développée en partie parce que nos commerçants locaux avaient pris l'habitude de réduire les salaires pour augmenter leurs profits.

Les commerces étaient majoritairement tenus par des étrangers qui s'imposaient partout, refusant de communiquer dans la langue locale. Ils ont transformé certaines zones périphériques de la capitale, comme Dar Naïm, le 5ème et 6ème arrondissements, Dar-Beïda et d'autres quartiers excentrés de Nouakchott, en véritables refuges. Cette situation a engendré des problèmes sanitaires croissants pour les autres communautés mauritaniennes, menaçant d'atteindre un point critique tant pour la population que pour l'environnement.