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Mediaterre - Le Programme alimentaire mondial (PAM) a signé cette semaine avec ARC (African Risk Capacity), une agence spécialisée de l'Union africaine, sa première police d’assurance contre les risques climatiques. Cette police d'assurances appelée ARC Replica est conçue pour permettre aux organisations humanitaires d’acheter des polices d’assurance macro « complémentaires » contre les risques climatiques. Les paiements sont déclenchés lorsque certains indices, tels que des précipitations faibles ou une végétation réduite, sont confirmés par des données satellitaires. Cette innovation protège les ménages vulnérables dès le début d'un choc climatique, contribuant ainsi à briser le cycle de la pauvreté endémique.
SNDE - Dans un article publié sur votre site le 21/09/2018, intitulé « Sebkha privée d’eau », vous relayez un ensemble d’informations sur la continuité du service d’eau assurée par la SNDE dans les Moughtaas de Sebkha et d’El Mina. Aussi, nous avons l’honneur de vous informer que, suite à l’achèvement des travaux du lot n°3 du nouveau projet de réhabilitation et d’extension du réseau de distribution d’eau dans les Moughataas de Sebkha et El Mina, la SNDE a procédé au déclassement partiel de l’ancien réseau en état de vétusté avancé au niveau de certains quartiers de ces deux Moughataas. Par conséquent, nous invitons les clients privés momentanément d’eau à se rendre aux centres commerciaux de la SNDE pour leur raccordement sur le nouveau réseau de distribution d’eau.
Les Mauritanies - Les populations de Sekhba, situé dans la banlieue ouest de Nouakchott, vivent un véritable calvaire. En effet, depuis un certain temps, les habitants sont confrontés à un manque criard d’eau, a-t-on constaté vendredi 21 septembre. Le liquide précieux s’est fait rare dans cette localité et ses environs. Actuellement c’est la ruée vers les bornes -fontaines. Les files d’attente sont trop longues et les prix grimpent. Le prix des fûts passent ainsi de 200 à 1000 MR, soit une hausse de 400%. Selon des sources bien informées, la Société Nationale des Eaux (SNDE), n’a avancé aucune date de retour à la normale.
Le Calame - Les populations de Sebkha souffrent de coupures d’eau récurrentes. Depuis pratiquement une semaine, elles ont du mal à étancher leur soif à cause du manque d'eau. Les robinets ne coulent plus. Pas une goutte, dans la banlieue ouest de Nouakchott où l’agence locale se mure dans un silence de cathédrale face à la colère des abonnés. Pire, la Société Nationale des Eaux (SNDE), si prompte à arracher les compteurs, de ses clients n’a pas daigné les avertir pour qu’ils puissent disposer de réserves. Devant certaines bornes fontaines, les queues sont longues. Cette pénurie a entraîné une montée en flèche des prix des fûts passés de 200 à 1000 MRO. Situation identique à ElMina où le liquide précieux ne coule pas dans de nombreux quartiers. Aucune date de retour à la normale n’a été avancée.
Apanews - Six personnes, dont deux femmes et 4 enfants ont trouvé la mort, mercredi, dans des pluies accompagnées de vents violents dans le nord mauritanien, a appris APA jeudi de sources officielles basées dans la région du Tiris Zemmour. Les personnes décédées sont tombées suite à l’effondrement de leur hangar, dans la localité de Twajil. Les pluies ont atteint 60 mm, ont précisé les mêmes sources. En Mauritanie, cette quantité de pluies n’est pas généralement source d’inquiétude, mais dans la zone où le drame a eu lieu, les précipitations pluviométriques sont plutôt rares, ce qui fait que les constructions sont souvent précaires.
L'Authentique - 15 juillet 2018 – 15 septembre 2018. Le Bilan des accidents de la route est lourd pour la saison hivernale. En effet, pas une semaine ne s’est passée pendant ces dernières vacances, sans qu’un accident ne soit survenu sur les routes inter urbaines du pays, particulièrement celles reliant Nouakchott aux capitales régionales : la route de l’Espoir, la transsaharienne, celle menant vers Rosso et celle qui relie la capitale à Akjoujt. Le 30 août dernier un grave accident s’est produit sur la route de Nouadhibou quand un minibus cogna frontalement un camion en stationnement, au PK 261. Bilan : 10 blessés graves. Une semaine auparavant, un accident mortel est survenu au PK 285 lors d’un télescopage entre deux véhicules : un camion et une voiture personnelle. Bilan : trois disparus. Le 18 juillet, les 7 passagers d’une Berline qui a foncé sur un camion en panne et abandonné sur la route de l’espoir, n’ont pas survécu au choc. Autre accident, celui survenu sur la route Nouakchott – Rosso, le 2 septembre dernier, entre une Mercédès 190 et une voiture de marque Renaud Megan.
Alakhbar - Les torrents déferlés par les hauteurs de l’Adrar se sont déversés de nouveau sur la ville d’Atar, entrainant l’effondrement de plusieurs maisons et la submersion des rues. Des quartiers entiers ont été séparés par les eaux les uns des autres. Des sans abris dont les habitations se sont écroulées ou ont été envahies par les torrents, sont visibles ici et là. Des pluies diluviennes avaient touché Atar le 31 octobre 2016, rappelle-t-on. De nombreux bus et camions, en partance d’Atar, étaient contraints de rebrousser chemin, après de vaines tentatives de traverser les puissants courants, propulsés par les falaises montagneuses (Chlakhs).
Alakhbar - Les pluies torrentielles tombées sur la ville d’Atar ont entrainé l’inondation de plusieurs quartiers. Les maisons ont été gagnées par les eaux, obligeant ses habitants à évacuer les lieux. Un journaliste sur place a affirmé que de nombreuses habitations sont tombées au cours des dernières heures sous l’emprise de l’eau. En 2016, de torrents similaires avaient touché la ville, les plus graves dans le quartier d’Ayn Al-Taya, à 35 kilomètres d’Atar où des dizaines de familles ont été déplacées de village en village.
Alakhbar - Les dernières données météorologiques créditent la tombée de précipitations dans le Centre, le Nord, le Sud et l’Ouest de pays, avec la présence de pluies très fortes à moyennes accompagnées de tonnerres, à partir du mardi 18 septembre courant. Des averses sont également attendues dans la nuit de lundi à mercredi, mais des orages de haute densité seraient plus fréquents sur la Mauritanie, à partir de mardi soir au mercredi 19 septembre à l’aube, notamment à l’Ouest du Tagant et au Sud Ouest de l’Adrar. Les nuages seront par contre plus denses à l’aube au Nord Ouest de l’Assaba et jusqu’au Nord Ouest du Brakna. A partir de mercredi à 7h, les nuages baisseront de densité et se déplaceront progressivement vers le Sud de Dakhlet Nouadhibou.
RYCM - L'accord universel sur le climat signé à Paris en Décembre 2015 fut historique, en ce sens que pour la première fois, plus de 195 Etats se sont engagés à baisser les émissions de gaz à effet de serre à moins de 2°C à l'horizon 2100, par rapport à l'ère préindustrielle. Un an plus tard, l'accord de Paris entrait déjà en vigueur, après ratification de 55 pays, responsable ensemble d'au moins 55% des émissions de gaz à effet de serre, ce qui en fait le texte le plus largement et le plus rapidement signé de l'histoire de l'Humanité. 03 ans après la COP21, où en sommes-nous en termes de matérialisation des engagements pris pour atteindre l'ambitieux objectif des 2°C ? Loin, très loin ! Nous n'en faisons pas assez et pas assez vite. Le rythme actuel des émissions mène sur une trajectoire de 3.5 degrés à la fin du siècle. C'est trop, beaucoup trop !
Chine Nouvelles - Quelques 800 ménages ont été touchés par des inondations à Bassiknou, extrême est de la Mauritanie, provoquées par les eaux de pluies ininterrompues enregistrées au cours de la semaine écoulée, dans cette zone située près de la frontière avec le Mali, a appris vendredi Xinhua de source officielle. Suite à ces pluies intenses, des habitations précaires en banco et bois se sont effondrées, mais "aucune perte en vie humaine n'a été déplorée", a affirmé une source sécuritaire sur place. "Les opérations d'évacuation des habitants sinistrés ont été menées par des unités du bataillon de l'armée mauritanienne basé à Bassiknou", a ajouté cette source.
Le360 - Il y a quelques jours, une note du Service national de la météo avertissait de risques d'inondations suite à des pluies diluviennes dans plusieurs régions de Mauritanie. Moins de 48 heures après cette annonce, Bassikounou, ville située à 1.400 km au sud-est de Nouakchott, aux confins de la frontière avec le Mali, a été en proie à des pluies diluviennes. Les orages ont emporté une centaine de maisons et ont causé des dégâts matériels très importants. Cette catastrophe naturelle a entrainé une véritable crise dans la région, comme en témoignent les habitants. Toutefois, les sinistrés avancent que l’intervention des autorités reste très limitée, tout en reconnaissant que l’armée a permis de déplacer les populations sinistrées vers des écoles de la région.
Infosplusgabon - Plusieurs dizaines d’individus, ressortissants de la ville de Bassiknou (située à environ 1400 km au Sud/est de Nouakchott/frontalière du Mali), ont organisé, ce jeudi, un sit-in de protestation en vue d’attirer l’attention des autorités sur le drame de cette localité et ses environs, victimes d’inondation, a-t-on constaté. Ainsi, rien que dans la capitale départementale, une centaine d’habitations ont été englouties par les eaux, en plus de nombreuses maisons dans les villages aux alentours, selon plusieurs témoignages. Hanana ould Hanani, porte-parole des manifestants, a notamment déclaré « notre Moughataa/département est confrontée à une crise catastrophique.
AMI - Le Premier ministre, M. Yahya Ould Hademine, s'est rendu, jeudi matin, dans la ville de Bassiknou, où il s’était informé de l'ampleur des dégâts constatés dans certains quartiers de cette ville en raison des inondations et des pluies torrentielles récemment observées. La visite s’inscrit dans le cadre de la solidarité et du soutien aux 800 familles touchées par les inondations afin de les aider à surmonter cette lourde épreuve due à une catastrophe naturelle. À cette occasion, le Premier ministre a donné le coup d’envoi de la distribution de l’aide à ces familles. Il s’agit de la distribution de produits tels que le riz, le sucre, le savon, les couvertures, les moustiquaires et autres produits de première nécessité.
Le360 - Le communiqué de l’office annonce qu’au cours des prochains jours, notamment hier, mardi 11 et ce mercredi 12 septembre «la situation météorologique générale sera caractérisée par la remontée du FIT à l’extrême Nord de la wilaya du Tiris zemmour avec une bonne pénétration de la mousson sur l’ensemble du pays». Cette situation «favorisera des activités pluvio-orageuses faibles à modérées localement forte dans les régions de l’Assaba, le Guidimakha, le Gorgol, le Brakna, le Tagant, l’Adrar, l’Inchiri, Dakhlet-Nouadhibou et sur la Wilaya du Tiris Zemmour». Par ailleurs «ces pluies seront parfois accompagnées de rafales de vent» ajoute la note, qui appelle également les usagers de la route à la plus grande prudence. Les pluies représentent une équation particulièrement épineuse à Nouakchott, ville en-dessous du niveau de la mer, dont les rues se transforment en patinoire à plusieurs endroits, alors que des maisons se retrouvent inondées dans de nombreux quartiers.
Essaha - C’est une catastrophe véritable qui a frappé la ville de Bassiknou à l’Est du pays, fortement sinistrée à la suite des pluies diluviennes qui se sont abattues sur la ville au cours des dernières 24h. Les torrents déversés par les monts et les hauteurs se sont déferlés sur les maisons en banco, conduisant à l’effondrement de dizaines d’habitations. La ville est par ailleurs entièrement encerclée et les maisons à moitié submergées par les eaux. Face à cette catastrophe, l’armée a déployé ses unités afin d’apporter les secours et d’évacuer les populations emprisonnées par les eaux vers des sites sûrs.
Le Petit Journal - Le programme Typha Combustible Construction Afrique de l’Ouest (TyCCAO) est lancé officiellement ce mercredi 12 septembre à Dakar à 9h, au siège de l’Organisation de Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS). Initié lors de la Conférence internationale sur le Climat de Paris (CoP21), par des structures sénégalaises, françaises et mauritaniennes, le projet TyCCAO a un double objectif : - Réduire la prolifération du typha qui envahit les lacs, les cours d’eau et les canaux d’irrigation du bassin du fleuve Sénégal
L'Office National de la Météorologie (ONM), relevant du ministère de l’Équipement et des Transports, a publié lundi 10 septembre courant, un avis particulièrement « préventif ». « Au cours des deux prochains jours, mardi et mercredi (11 et 12 septembre 2018), la situation météorologue générale sera caractérisée par une remontée du FIN à l’extrême nord de la wilaya de Tiris Zemmour avec une bonne pénétration de la mousson sur l’ensemble du pays », indique l’avis. "Cette situation favorisera des activités pluvio-orageuses faibles à modérées, localement fortes sur les régions de l’Assaba, le Guidimakha, le Gorgol, le Brakna, le Tagant, l’Adrar, l’Inchiri, Dakhlet Nouadhibou, le Trarza y compris la capitale Nouakchott et sur la wilaya de Tiris Zemmour", ajoute le communiqué.
Libération - Sept cent scientifiques français ont lancé un appel aux dirigeants politiques pour qu’ils passent «de l’incantation aux actes pour enfin se diriger vers une société sans carbone». «Seuls des changements immédiats et des engagements de court terme, dans le cadre d’objectifs clairs et ambitieux à horizon 2030, peuvent nous permettre de relever le défi climatique», lancent ces scientifiques en Une du journal Libération daté de samedi. Alors qu’une «Marche pour le climat» est organisée samedi dans plusieurs villes de France et à travers le monde, ces scientifiques déplorent que nous soyons «d’ores et déjà pleinement entrés dans le +futur climatique+ (...) Hausse du niveau de la mer, désoxygénation et acidification des océans, etc. : les manifestations concrètes du changement climatique ne cessent de s’accumuler».
Saharamédias - Une hauteur de pluie de près de quarante millimètres a été enregistrée dans la nuit de mardi à mercredi dans certains quartiers de la capitale. Ces précipitations ont inondé les principaux axes routiers de la capitale et favorisé la constitution de flaques d’eau sur les voies secondaires. Ce mercredi matin la circulation à l’intérieur de la capitale était paralysée, certaines voix étant impraticables. Les citernes de l’office national de l’assainissement ont été vues aspirant les eaux de pluie sur certains axes, notamment l’avenue Mokhtar O. Daddah dans le quartier de Tevragh Zeina.