Exactement, une grosse commise contre PIZZORNO, voilà pourquoi tout nouakchott presque souffre de l'insalubrité hygiénique, or les riverains de chaque quartier ne devrait pas attendre que les autorités réagissent, c'est à eux, donc nous, de réagir en combattant la saleté des ordures, puisque c'est l'H qui représente une société et la construit comme la détruit aussi, les habitants de chaque quartier doivent prendre leurs responsabilités, les vendeurs dans les rues aussi et d'autres gens stationnant dans le public etc... mais le problème comme cancer, est que ce sont d'abord les mentalités qui ne sont pas ordonnées, qui ne sont pas propres pour la plupart d'entre les citoyens, or si une mentalité est sale, bien sûr cela se reflète dans le comportement d'autrui aussi, et hélas nous cohabitons malheureusement avec un peuplade aux mentalités sauvages, même si certains d'entre les citoyens sont des intellectuels cela ne les sert à rien ! il suffit aussi juste voir ces routes construites élargies, ces nouveaux marchés construites et autres places faites, mais cela ne sert à rien, pourquoi? parce que ce sont les mentalités qui sont désorganisées, bref comme le disait un ces professeurs de philosophie monsieur sow, "dans notre pays, nous sommes comme des troupeaux de chèvres étourdis dans le désert", j'en rajoute désolée, même nos animaux sont plus civilisés que nous humains, tfouuuuu !.

L’arrêt unilatéral du contrat qui liait l’état à la société Pizzorno fut l'une des plus grosses erreurs du régime Aziz coutumier de l’improvisation et de l’amateurisme…..Quoi qu'on dise elle assurait le ramassage et la destruction des ordures ménagères avec professionnalisme, compétence et dans le respect des normes environnementales sans oublier les milliers de mauritaniens qui y étaient employés mais il fallait les bouter hors du pays sans préavis juste pour satisfaire l’appétit vorace de certains groupes d’intérêts proches du régime (sans compétence, ni expérience avérée en la matière) qui lorgnaient ce marché juteux et voulaient en faire main basse par tous les moyens avec à la clé des chômeurs à la pelle licenciés sans droits ni mesures d’accompagnement.

PIZZARNO, PIZZARNO ET PIZZARNO !