c'est terrible ces détrounements de fonds, qu'on peut-on prêter plus de 400 millions à un commerçant alors qu'avec cette somme on pourrait équiper les écoles de matériels sophistiqués et efficaces ou bien ouvrir une école dans les quartiers poplaires?

C'est pathétique la situation de la Mauritanie.

Tout simplement, que Abeidi n'est pas commerçant, c'est un jeune, parmi la jeunesse Nouakchotwoisee ! Il a trouvé faille, par la complicité de son ami comptable, comme j'ai appris, et le coup a vite passer et cela démontre la mauvaise gestion des biens de notre chere Mauritanie !

Certe Abeidi Khawmani, est un Sba3i, mais jamais Khalifa ne pouvais recevoir des ordres de haut, pour donner à son complice ! Abeidi, n'était pas connu dans son milieu tribale, vu son age et ses moyens !

Pourquoi mon commentaire précédent n'a pas passé sur Cridem !

Peut-être tout simplement parce que vous avez fait une fausse manipulation et ne l'avez pas validé. Il n'y a aucun commentaire de vous validé ou non validé durant les 24 dernières heures.

Le webmaster

Comment de l'argent public peut-il être prêté à tiers? En réalité c'est monnaie courante, les commerçants et fournisseurs ne prospèrent qu'avec l'argent public mis à leur disposition par des parents hauts placés. C'est dire que enrayer la gabegie revient à bloquer le fonctionnement naturel de notre pays car les "vougrach" ce sont ceux qui parviennent à réaliser l'inimaginable.

Du n'importe quoi .Un cas grave de corruption et de malversation au sommet d'un etat corrompu.

ben c'est trop facile, mais la vérité apparaitra

L’armée qui est censée assurer la sécurité nationale est elle-même victime de ces coups bas médiocres et inqualifiables. Et dire que c’est l’armée qui est aux commandes de ce pays .Où va la Mauritanie ?

Finalement, les commerçants mauritaniens sont des militaires où ce sont les militaires qui font le commerce en Mauritanie. Qui gouverne ce pays ? Et qui fait le commerce en Mauritanie ?

Et Pan ! Voici la preuve de cette affirmation d'un journaliste de Biladi.

"Au-delà de l’affaire Bouamatou et du cas Debagh, la visite obtenue au forceps des animateurs de l’ONG ‘’Sherpa’ en Mauritanie, suscite une nouvelle interrogation par rapport à un éventuel intérêt de cette organisation au sujet d’un pays sous les bottes d’une classe militaro-affairiste depuis 1978."

Biladi

ça c'est la belle qui va faire tourner la tète. Une enquête s'impose et s'il faut situer des responsabilités, il faut le faire.

L'insécurité à l'intérieur de la sureté.