Une question : est-ce que c'est CHeikh Ridha qui s'est présenté chez chacune d'entre vous pour recupérer sa maison? N'est-ce pas vous qui avaient couru derrière des courtiers , les suppliant et passant par des interventions pour offrir les dossiers de vos maisons moyennant un montant? Alors pointez vos fusils sur vos tempes car personne ne vous a dupé , vous l'avez fait sciemment cherchant plus de dividendes ? en voulant trop gagner on risque deb trop perdre.

L’armé de la libération du front-Polisario, en avant !

@ HAADIROCK.faut savoir que la communauté d'en face n'a pas les mains vides elle aussi:les temps ont changé.

Apparemment c’est la jungle .

Ces femmes sont désespérées car elles ne sont pas entendues et la justice les ignore ! Leur seul moyen de pression est la menace ....

Des femmes avec des armes de guerre.ils sont tous lourdement armés prets a en decoudee avec la communauté d'en face

Ou bien, Cheikh Ridha est un escroc bandit de grands chemins, ou bien il est un naïf qui a été utilisé par le régime de la dernière décennie pour faire cette arnaque foncière sans précédent dans l’histoire du pays. Dans les deux cas c’est grave. La responsabilité engage pleinement Cheikh Ridha lui-même et le régime de la dernière décennie aussi qui le protégeait et qui apparemment l’a laissé entre de bonnes mains, celles du président actuel Ghazouani. Plus grave encore, Cheikh Ridha et le régime qui le protège, instrumentalisent apparemment l’image de piété de Cheikh Ridha et son origine Cherif pour cette arnaque. Ces femmes qui brandissent les armes à feu contre Cheikh Ridha, c’est grave. Cheikh Ridha est protégé par le ministère de la justice sur le plan judiciaire, et protégé par le ministère de l’intérieur qui assure sa sécurité. Espérons que ces êtres sensibles blessées qui sont en train de ronger leurs freins, ne finissent par réorienter les canons de leurs armes vers les ministres de la justice et de l’intérieur.

très bien ça se corse entre eux;le système bidon et crétin de ce pays va sombrer dans les ténèbres.