Le360 - Une centaine d’acteurs des organisations de la Société civile en Mauritanie, et des représentants de la Délégation de l’Union Européenne (UE), réunis à Nouakchott, se sont concertés sur une feuille de route traçant les axes de la coopération entre les deux parties pour les trois prochaines années.

L'Union européenne souhaite collaborer avec la société civile mauritanienne. A ce titre, une rencontre s'est tenue le mercredi 17 octobre dernier à Nouakchott. Cette rencontre a été l'occasion pour les deux parties de définir un cadre de travail commun et de définir les axes de travail pour les trois prochaines années.

Pour Leandro Médéot, chargé de programme-section coopération à la délégation de l’Union Européenne (UE) à Nouakchott, il s’agit «de discuter de la pertinence d’une feuille de route pour accompagner la Mauritanie dans la définition d’un cadre légal favorable à la promotion et à l’épanouissement des Organisations de la Société Civile (OSC), appuyer les politiques sectorielles: éducation, santé, environnement, défense des droits humains et aider au renforcement des capacités des associations de la société civile».

Pour leur part, Maria Ladji Traoré, journaliste, très active dans le mouvement associatif, et Baba Cheikh Hamdy, responsable de l’ONG «ADRESS», spécialisée dans le suivi de la mise en œuvre des politiques publiques, sont revenus sur les principaux axes de la coopération entre l’UE et les organisations de la Société civile mauritanienne.

Par notre correspondant à Nouakchott
Cheikh Sidya